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jeudi 3 janvier 2019

Le Parisien - Incendies à répétition : mais qui en veut à la mairie de Villecresnes ?

Depuis début décembre, véhicules et bâtiments de la ville ont été la cible de plusieurs incendies criminels. Un entrepôt et cinq véhicules de la police municipale, des services techniques et du centre communal d’action sociale, ont été touchés.

Des « gamins » comme le suggèrent certains ? Un pyromane assouvissant ses pulsions ou une basse vengeance ? Depuis début décembre, la ville est le théâtre d'incendies à répétition. Qui en est responsable ? Mystère. Mais la cible est toujours la même : les véhicules ou des bâtiments de la commune.

Tout commence le 2 décembre. Une voiture du CCAS (du centre communal d'action sociale) part en fumée. Dans la nuit du 8 au 9 décembre, c'est le bâtiment et les véhicules des services techniques qui sont touchés. En parallèle, un tractopelle dédié aux fouilles archéologiques sur le chantier d'Attilly est ravagé par les flammes, le même jour. Le 29 décembre enfin, deux voitures de la police municipale situées dans l'enceinte du poste de police prennent feu. D'après les premiers éléments de l'enquête, tous ces incendies sont d'origine criminelle.

L'ombre de « l'affaire de la ferraille »
Alors, qui en veut à la mairie? Certains évoquent la piste du règlement de comptes. Selon Marie-Renée Aurousseau, conseillère municipale indépendante, les incendies pourraient être la conséquence de l'affaire dite « de la ferraille ». En février dernier, six fonctionnaires des services techniques avaient été placés à garde à vue pour vol par personne exerçant une mission de service public.

« Avant la série de décembre, le camion avec lequel ils transportaient les métaux revendus illégalement avait été incendié (NDLR : en août) rapporte cette Villecresnoise depuis 50 ans. Je pense qu'on leur en veut toujours… Car aujourd'hui encore, ils se font insulter ».

Des « gamins pyromanes » ?
L'adjoint aux dossiers techniques a une autre théorie. « Ces pyromanes, ce sont sûrement des gamins qui se lancent des défis », estime Daniel Schreiber.

Gamins ou pas, les dégâts subis par « la ferme », le surnom du bâtiment qui abritait les services techniques sont sévères. Avant le nouvel an, le maire (LR) Gérard Guille se désolait : « Nous avons perdu tout le matériel informatique. Et deux camions, dont un frigorifique utilisé pour transporter les repas dans les écoles, sont partis en fumée ».

« Une partie du patrimoine disparaît »
« C'est une partie du patrimoine qui disparaît », ajoute, ému, Daniel Schreiber. Achetée par la commune en 1961, la ferme servait de caserne de pompiers avant d'abriter le dojo d'une association. Seule solution de repli pour les services techniques : le nouveau centre situé près des ateliers de Beaumont, rue d'Yerres. Les employés devaient de toute façon y déménager. « Sur le plan opérationnel, tout était prêt pour les accueillir », précise Daniel Schreiber.

Reste, pour la Ville à encaisser le coût des incendies. « L'incendie de la ferme représente plus de 100 000 € de préjudice », chiffre le maire. Des dégâts qui devraient être pris en charge en partie par les assurances. « Nous attendons le passage des experts », signale Gérard Guille. On ignore en revanche le coût total des dégradations du mois de décembre. Pour l'heure, la sécurité a été renforcée en centre-ville et la police municipale multiplie les rondes. L'enquête, elle, est toujours en cours.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/incendies-a-repetition-mais-qui-en-veut-a-la-mairie-de-villecresnes-03-01-2019-7980531.php

jeudi 27 décembre 2018

Le Parisien - au Bois d’Auteuil, ils se battent pour avoir des commerces

Une pétition a été lancée par des habitants pour que les locaux disponibles, place des Musiciens, accueillent boulangerie et pharmacie, plutôt qu’un pôle médical.

La création du nouveau quartier du Bois d'Auteuil en 2015 a apporté une dynamique dans la ville. Mais si les nouveaux logements poussent, la vie de quartier balbutie, les commerces de proximité, eux, manquent encore. Une pétition vient d'être lancée par le collectif Écoquartier du Bois d'Auteuil pour plébisciter l'arrivée de commerces de proximité.

Déjà, 127 signatures ont été récoltées. Car des locaux commerciaux sont disponibles. Situé à l'angle de la place des Musiciens, un espace de 530 m2 vient d'être acheté par un investisseur. Il devrait y accueillir un pôle médical avec un cabinet de plusieurs chirurgiens-dentistes. L'idée d'une prochaine crèche circule aussi. « En 2014, les promoteurs nous avaient promis l'arrivée d'une supérette à la place », fulmine un membre du collectif.

« Il faudrait juste développer le secteur économique en favorisant l'implantation de nouvelles devantures, telle une boulangerie ou une pharmacie », pointe une mère de famille de la rue du Bois d'Auteuil. « C'est la priorité », renforce une voisine. Actuellement, seuls une épicerie fine, une esthéticienne et un kinésithérapeute animent le quartier aux 400 logements. Malgré l'esprit village conservé, les habitants pointent un certain isolement. « Ici tout le monde se connaît, mais sans commerces, cela pourrait vite devenir une cité-dortoir », craint Marilyne, une habitante de 43 ans.

Une heure pour acheter une baguette
Pour la mairie, cela s'explique par un prix au m2 « trop cher » pour les futurs commerçants. « Il y a un an, on a essayé d'attirer des boulangers mais le projet n'a pas abouti », raconte le maire (LR) Gérard Guille. Tandis que Carrefour avait fait une étude de marché pour installer une supérette il y a deux ans, là encore inachevée. « J'ai suggéré au promoteur immobilier Pichet de faire de la location puisque la vente reste difficile », explique l'élu.

Obligés donc de se déplacer jusqu'au centre-ville pour faire leurs courses, — soit un trajet de 1,5 km —, les riverains les plus âgés déplorent notamment la faible fréquence de passage des bus. « Aller acheter une baguette, cela me prend une heure de mon temps », indique Chloé, 34 ans.

Consciente du problème, la mairie prévoit de nouveaux aménagements. « On veut prétendre à un arrêt supplémentaire en haut du Bois d'Auteuil », annonce le maire en collaboration avec Ile-de-France Mobilités.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-au-bois-d-auteuil-ils-se-battent-pour-avoir-des-commerces-27-12-2018-7977201.php

mardi 22 mai 2018

Le Parisien - Réunion sur les travaux de la rue du Bois-d’Auteuil

CE SOIR se tiendra une réunion publique d’information sur les futurs travaux rue du Bois-d’Auteuil.

La municipalité a sollicité le territoire Grand Paris Sud Est Avenir (T11) afin qu’il engage rapidement des travaux sur les axes de la commune relevant de ses compétences.

Des travaux de sécurisation et de réaménagement vont être réalisés en urgence dans cette zone du Bois-d’Auteuil très fréquentée, proche du site de loisirs et le groupe scolaire Mélanie-Bonis. Au menu : enfouissement des réseaux, requalification de la voirie et maîtrise de la vitesse, création de nouveaux ralentisseurs, mises aux normes des points arrêts bus, réfection complète des trottoirs et création d’espaces paysagers,  réorganisation du stationnement, rénovation de l’éclairage public en LED.

Les travaux sont prévus de mi-juin à fin août en trois phases avec, selon l’avancement, une circulation modifiée et une déviation. Le montant total de l’opération s’élève à environ 206 000 € HT pour le territoire et 100 000 € HT pour la ville.

Ce soir à 19 h 30 dans la salle Cheminée, 1, rue du Bois-d’Auteuil

Source : Le parisien du 22 mai 2018

mercredi 16 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : Annie-France Vidon n’est plus

La conseillère municipale de l’opposition est décédée mardi soir des suites d’une longue maladie.
Elle se sera battue jusqu’au bout pour lutter contre son cancer. La conseillère municipale Annie-France Vidon est décédée mardi soir à l’âge de 69 ans.

Élue depuis 1995, elle avait exercé ses responsabilités municipales sous cinq maires : Pierre Gravelle, Xavier Pozzo di Borgo, Pierre-Jean Gravelle, Daniel Wappler et Gérard Guille.

Durant 13 années, elle fut adjointe au maire en charge des affaires scolaires, fonction dans laquelle elle avait réalisé un travail de fond et gagné la confiance des enseignants, du personnel des écoles, des parents d’élèves et de leurs représentants. « Elle était passionnée par son travail », se souvient Daniel Wappler, ex-maire (SE) de 2008 à 2014.

Ses collègues élus du groupe d’opposition Villecresnes Avenir au sein du conseil municipal de Villecresnes et l’ensemble des adhérents de l’association, l’ont décrit comme une femme « attentive aux autres, engagée, très investie et très attachée à la ville ».

Elle avait une fille et était grand-mère d’une petite-fille.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-annie-france-vidon-n-est-plus-16-05-2018-7719735.php

mardi 15 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : le marché du centre-ville déserté par les clients

La fréquentation du marché tend à baisser ces dernières années. La faute au manque d’entretien de l’espace couvert et à la concurrence des grandes surfaces.

Des étals vides, des allées désertes, des enseignes abandonnées… Le marché couvert du centre-ville semble à l’agonie. La faute aux grandes surfaces voisines, aux marchés plus attractifs des communes limitrophes.

« Dimanche, jour de marché, les sacs sont maigres, les étals épars et les clients rares », résume un commerçant. En semaine, le jeudi, ce serait pire : près de la moitié de la quinzaine d’étals ne ferait pas son chiffre d’affaires espéré.

« La dépense moyenne sur mon banc est passée de 15 € il y a trois ans à 5 €. Il me faut deux à trois jours pour écouler la production qui partait en une matinée. Mon chiffre d’affaires a baissé de 50 % », explique un primeur. « La population a changé. Il n’y a pas assez de clients de passage. Ce sont surtout les habitués qui viennent me voir », raconte une autre commerçante qui pointe du doigt la concurrence des grandes surfaces voisines.

Sabine, une fidèle du marché a changé ses habitudes. Depuis deux ans, elle fait ses courses au magasin Grand Frais à Servon (Seine-et-Marne). « Cela me revient moins cher », confie-t-elle. « Les gens ont pris d’autres modes de consommation et maintenant c’est trop tard, ils ne sont pas revenus », relève l’un des primeurs.

Des commerçants partis

« Il y a dix ans, on avait beaucoup de spécialités sur les étals. Aujourd’hui, le marché est mort », déplore une retraitée. Seuls un poissonnier, un rôtisseur, un fromager, un volailler, un boucher et des primeurs résistent. Les autres sont partis pour des marchés plus rentables tels que Sucy, Boissy ou Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne).


Autre explication à cette désertion : la tenue même du marché. Plusieurs habitants font état d’un lieu « mal adapté avec des problèmes d’accessibilité, d’insalubrité et de visibilité », ce qui aurait conduit les consommateurs à bouder peu à peu ce rendez-vous.

« Le marché est vieillot, sombre et pas très accueillant. On dirait un hangar. Il faudrait commencer par le rénover pour donner envie à la clientèle d’y venir », souligne Benoit Louveau, boucher dans la ville, hors du marché.

Gérard Guille, le maire (LR), est bien conscient de ces difficultés. Il compte sur l’arrivée de nouvelles familles avec le projet d’aménagement urbain de l’espace d’Attilly pour achalander le marché du centre-ville.

En 2015, une opération spéciale avait été organisée pour redynamiser le marché. L’association des commerçants de Villecresnes avait proposé aux aficionados du marché de gagner une Twingo.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-marche-du-centre-ville-deserte-par-les-clients-14-05-2018-7715739.php

jeudi 10 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : le maire renvoyé en correctionnelle pour diffamation

Villecresnes. Après plus de deux ans de procédure, le maire (LR) Gérard Guille, vient d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel.

Après deux années de procédure.

Après plus de deux années de procédure, le juge d’instruction vient de prononcer le renvoi de l’affaire de Gérard Guille devant le tribunal correctionnel. Le maire (LR) de Villecresnes avait été mis en examen pour diffamation envers particuliers. Plusieurs appels et un pourvoi en cassation avaient déjà été introduits par son avocat.

Le 15 septembre 2015, huit élus de la précédente équipe municipale, dont l’ancien maire (SE), Daniel Wappler, avaient déposé une plainte pour diffamation contre Gérard Guille, suite à des « cris ou des menaces proférés publiquement lors du conseil municipal du 30 juin 2015 ». Le maire avait alors accusé les membres de l’ancienne majorité « d’avoir emmené l’ensemble des dossiers en cours à l’issue de leur mandat ». Les personnes mises en cause avaient considéré que cette accusation « portait gravement atteinte à leur image publique et à leur honneur ».

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-maire-renvoye-en-correctionnelle-pour-diffamation-10-05-2018-7709082.php

dimanche 6 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : la salle culturelle prête à renaître de ses cendres

D’importants travaux de réhabilitation, estimés à 240 000 €, vont être entrepris.
Tombée en décrépitude, la salle culturelle dit « le Fief » retrouvera une nouvelle vie d’ici les prochains mois. D’importants travaux de réhabilitation vont être entamés pour un coût estimé à 240 000 €. Le maire a annoncé, lors du conseil municipal du 2 mai dernier, engager un plan global de rénovation thermique et durable. Une demande de subvention auprès de la Métropole du Grand Paris au titre du Fonds d’investissement métropolitain a d’ailleurs été votée à l’unanimité.

Pierre angulaire de la vie culturelle et associative, le Fief est également dans la ville l’un des lieux cultes des expositions de peinture, sculpture, modelage et de la musique. Le maire Gérard Guille (LR) a rappelé mettre un point d’honneur à l’entretien du patrimoine. La salle d’exposition au rez-de-chaussée a déjà été repeinte. Les fenêtres seront aussi changées pour une meilleure isolation, a-t-on indiqué à la municipalité.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-salle-culturelle-prete-a-renaitre-de-ses-cendres-06-05-2018-7701573.php

jeudi 3 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : la mairie lâche l’école pour autistes

Cette année, la ville n’accordera pas de subventions à l’association « Espoir autisme » qui gère une école privée pour enfants autistes. Celle-ci risque de fermer ses portes d’ici la fin mai.
L’association « Espoir Autisme » qui gère une école pour enfants autistes va mal. La subvention dont elle bénéficiait l’an dernier de la part de la mairie n’est pas renouvelée cette année. C’est ce qui a été voté ce mercredi au conseil municipal lors de la répartition de la subvention communale évaluée à 214 462 € aux associations. Pour la présidente d’« Espoir autisme », c’est le coup de massue de trop. Déjà en difficultés financières depuis le début de l’année, elle comptait sur le soutien de la municipalité pour maintenir l’école à flot.

L’an dernier, la ville avait accordé une subvention exceptionnelle de 20 000 € et financé une soirée caritative à hauteur de 7 800 € dont tous les bénéfices avaient été reversés à Espoir Autisme (14 000 €). « Le maire LR, Gérard Guille s’était engagé à plusieurs reprises, publiquement, à pérenniser l’établissement », souligne Tina Bento.

« Il n’a jamais été question de réattribuer une telle somme en 2018, rapporte Thierry Debarry, adjoint de la vie associative et de la jeunesse. On a des budgets contraints », poursuit-il. La mairie insiste sur le fait que le centre communal d’action sociale (CCAS) verse déjà 4 000 € à l’association soit 500 € de plus qu’en 2017. Une somme toutefois insuffisante à la survie de l’école. « La mairie s’est beaucoup mobilisée depuis sa création. C’est à l’Etat et au député de jouer leur rôle », signale Thierry Debarry.

Risque de fermeture fin mai
L’école « L’Etoile » qui accueille actuellement dix enfants âgés de 3 à 14 ans risque de fermer ses portes d’ici la fin mai, selon sa présidente « si aucune subvention n’est trouvée d’ici là ». Près de 98 enfants seraient sur liste d’attente.

« Au mois d’avril, il a été compliqué de payer les salaires des éducateurs », confesse Tina Bento. Pire, elle craint la perte de l’agrément (établissement d’enseignement du premier degré privé hors contrat) de l’Education nationale. Le branle-bas de combat pour trouver des subventions est donc lancé. L’association a déjà interpellé les commerçants de la ville. « Il nous manque 20 000 € pour tenir jusqu’en septembre », affirme la présidente.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-mairie-lache-l-ecole-pour-autistes-03-05-2018-7696641.php
article précédent sur le même sujet : presse-villecresnois.blogspot.fr/2018/03/le-parisien-villecresnes-lecole-pour.html

vendredi 27 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes Venez croquer la pomme

LE VERGER DU MONT-EZARD et ses 70 pommiers et autres arbres fruitiers vous accueillent demain.
L’association les Croqueurs de pommes vous propose une visite pour comprendre la vie du verger au fil des saisons, de la floraison à la taille en passant par la récolte. Les visiteurs apprendront à analyser la forme des fleurs, à connaître les étapes de développement pour obtenir des pommes, les facteurs d’échec et les moyens pour optimiser la production.

Demain (samedi 28 avril), de 14 heures à 17 heures. Visite gratuite.
Rendez-vous route du Réveillon. Infos et réservations sur Tourisme - valdemarne.com ou au 06.60.74.93.72

Source : Le Parisien du vendredi 27 avril 2018

jeudi 26 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes Une soirée en faveur des enfants autistes

POUR SOUTENIR les enfants autistes, l’association Espoir autisme 94 organise une soirée caritative samedi.
Au programme : dîner, ambiance musicale et tombola.

Ouverte en 2011 à Villecresnes, l’école L’Etoile spécialisée pour les enfants autistes est aujourd’hui menacée de fermeture, faute de financement.

Elle accueille dix enfants encadrés par huit éducateurs.
Devant l’urgence de la situation, la mairie a lancé une campagne de dons.
Le dernier événement du 31 mars, un loto solidaire, a permis de récolter 3 000 €.

A 20 heures salle de l’Orangerie du château. Tarif : 35 € (adulte) et 15 € (enfant). Réservation auprès 
de Tina Bento au 06.61.61.99.34.

Source : Le Parisien du jeudi 26 avril 2018

mercredi 25 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes : comment sauver les commerces du centre-ville

Confrontés à l’explosion des grandes surfaces en périphérie et à l’évolution des modes de consommation, les magasins de proximité résistent mal.
Encore une victime. Après le pressing qui a fermé ses portes après 40 ans d’existence, c’est au tour de la Maison de la presse de baisser le rideau. Le magasin n’aurait trouvé aucun repreneur. Et les fermetures se multiplient. La faute aux loyers trop élevés, selon le maire (LR), Gérard Guille.

Les habitants boudent ainsi de plus en plus les commerces de proximité préférant privilégier les zones commerciales qui s’étendent en périphérie de la commune. « Je n’ai pas envie de prendre une amende lorsque je vais acheter ma baguette de pain », souffle une riveraine. Le maire affirme qu’avec le projet d’aménagement de la place d’Attilly, 72 places supplémentaires seront aménagées fin 2019.

Désarmés face à la concurrence de la grande distribution, de nombreux commerçants du centre-ville déserté mettent la clé sous la porte ou déménagent vers les espaces périurbains. Sans parler de la concurrence du commerce en ligne qui a pris de l’ampleur ces dernières années. Un salon de coiffure se donne jusqu’à la fin de l’année pour savoir s’il continue l’aventure ou non. « Pour l’instant j’essaye de tenir le coup », soupire la gérante. Pour certains professionnels de la rue du Réveillon, la multiplication des vitrines vides fait fuir les repreneurs. « C’est tout le commerce de proximité qui souffre de cette désertification », relève une commerçante.


Certains s’accrochent pourtant, à en croire Daniel Wappler, ex-maire (SE). « Les commerces de bouche résistent car leur politique tarifaire est attractive. Dans les boulangeries et les boucheries, la clientèle est assez fournie », observe-t-il. La boucherie Seys réussit, elle, à garder la tête hors de l’eau. Créée dans les années 2000, elle a su « fidéliser sa clientèle et maintenir son chiffre d’affaires », assure le boucher Benoît Louveau.

La solution pour redynamiser le centre-ville ? Une brasserie. Plusieurs Villecresnois regrettent celle qui « rassemblait la population », il y a près de six ans. Elle pourrait revoir le jour que vite que prévu. La place d’Attilly devrait accueillir 600 m2 de commerces dont un restaurant-brasserie réclamé par la mairie.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-comment-sauver-les-commerces-du-centre-ville-25-04-2018-7683192.php

vendredi 13 avril 2018

Le Parisien - Tous unis contre le projet de prison à Limeil

Lors du conseil municipal de mercredi, la municipalité a voté une motion contre le projet d'implantation d'une prison à Limeil-Brévannes et sur une autre commune du Val-de-Marne.

Lors d'une marche de protestation en mars, le maire (LR) de Villecresnes, Gérard Guille, ne mâchait pas ses mots quant à la possible implantation de la future prison à Limeil-Brévannes qui pourrait accueillir 180 détenus en fin de peine. "La municipalité s'oppose fermement à ce projet. Il y a déjà une prison à Fresnes", affirme-t-il. Cette dernière regroupe aujourd'hui près de 2600 détenus.

Mercredi, à l'occasion du conseil municipal, le maire a donc présenté une motion relative au projet qui pourrait voir le jour sur le site de la Ballastière nord à Limeil. Le texte a été adopté à l'unanimité. "Nous souhaitons une meilleure considération des élus locaux", tonne Gérard Guille. Dans cette motion, les élus de Villecresnes expliquent "refuser" catégoriquement de se voir imposer une telle mesure qui ajoute à la ségrégation territoriale et à une stigmatisation injustifiée". le maire a par ailleurs indiqué qu'il serait demandé au gouvernement, "un plan de rénovation pénitentiaire à Fresnes".

Les élus s'inquiètent aussi d'un deuxième site pénitentiaire dans le Val-de-Marne, à l'étude dans le département.

Source : Le parisien papier du 13 avril

mardi 10 avril 2018

Le Parisien - Partagez vos souvenirs de la Grande Guerre


La municipalité fait appel aux souvenirs des Villecresnois pour son exposition sur le centenaire de la guerre 14-18, coorganisée avec les associations Union nationale des combattants (UNC) et Villecresnes Patrimoine (AVSP).

Du 22 au 30 septembre, cette exposition sera réalisée à partir de documents, d'objets de souvenirs collectés auprès des habitants : lettres, photos, médailles, journaux... "Tout ce qui peut avoir un lien avec la Première Guerre mondiale nous intéresse" a indiqué la mairie.

Si vous ou vos proches possédez des documents et acceptez de les prêter à cette occasion, vous pouvez contacter Jean-Claude Janès, président de l'UNC jcj40@dbmail.com ou Thierry Debarry, maire adjoint : t.debarry@villecresnes.fr

Source : journal papier du 10 avril 2018

vendredi 6 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes : Deux nuits pour rire

A travers ses "Nuits de l'humour", Villecresnes vous propose un plateau de six humoristes demain et samedi. L'occasion de découvrir Jeremy Charbonnel, qui, sous ses airs de gendre idéal, cache une personnalité moins policée, grinçante et pince-sans-rire ; Sylvie Pagnot qui raconte ses petits tracas du quotidien et s'inspire de son expérience de professeur au collège.

Samedi soir, vous pourrez retrouver Omar Meftah et son humour incisif ; David Azencot, ancien publicitaire, comédien, auteur et chroniqueur radio : Audrey Charlot vous fait partager sa vie de danseuse, ses anecdotes sur le milieu ghetto hip-hop ; Tony Atlaoui qui, accompagné de Chanel, sa petite chienne, revient sur sa famille, ses origines et ses ex.

Demain et Samedi à 20h30 au Centre culturel La Rue, 38, rue François-Coppée à Mandres les Roses.
Tarif : 12€. Pass 2 soirées : 20 € Infos : www.laruelesarts.com

Source : Le Parisien, édition papier du 6 avril 2018

lundi 2 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes : la boîte à livres incendiée

Située sur le parvis de la bibliothèque de la ville, la boîte à lire aurait été incendiée dans la nuit de jeudi à vendredi dernier. Une première depuis son installation. Inaugurée il y a deux ans, cette boîte en bois est utilisée pour déposer, emprunter, échanger, des livres de toutes sortes, romans, poèmes, BD, nouvelles… Ils sont accessibles à tous, enfants et adultes, 24 heures/24, sept jours sur sept, gratuitement.

Aujourd’hui, la petite bibliothèque à ciel ouvert est à nouveau disponible. « Les quelques livres brûlés ont été enlevés. Tout a été nettoyé », a précisé Denise David, conseillère municipale déléguée à la culture et à la bibliothèque.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-boite-a-livres-incendiee-02-04-2018-7642206.php

lundi 26 mars 2018

Le Parisien - Villecresnes : l’école pour autistes menacée de fermeture

Faute de financement, l’école privée pour enfants autistes « L’Etoile » risque de fermer ses portes d’ici la fin de l’année. La directrice et présidente de l’association « Espoir Autisme 94 » lance un appel aux dons.

Les dix enfants autistes scolarisés à l’école spécialisée « L’Etoile » pourraient bien se retrouver sans établissement à la rentrée prochaine. « On arrive au bout de nos subventions », s’inquiète Tina Bento, directrice et fondatrice de l’école privée à Villecresnes créée en 2010.

Aujourd’hui, celle-ci, qui a momentanément déménagé à Crosne (Essonne), est menacée de disparaître, faute de moyens. « On aurait besoin de 80 000 € pour la sauver », souligne la présidente de l’association « Espoir Autisme 94 » qui se bat chaque année pour faire vivre la structure quitte à payer de sa poche. « L’argent sert avant tout à rémunérer les huit éducateurs qui travaillent dans l’établissement », ajoute-elle.

Plusieurs fois, l’école a failli fermer. « Nous avons été sauvés de justesse l’an passé », confie Tina, en détresse. Malgré le soutien d’entreprises locales, de dons de particuliers, des mairies telles que Villecresnes, Santeny, Varennes-Jarcy (Essonne), cela ne suffit plus. Sans aide financière de l’Etat, son avenir reste toujours incertain. « La situation est précaire depuis huit ans. On vit mois par mois. L’Etat n’a jamais répondu à mes courriers », explique la bénévole. A Villecresnes, le maire (LR) Gérard Guille indique faire son « maximum pour pérenniser l’association ». « Chaque année, on donne environ 3 500 € de subventions », précise l’élu.

Un appel aux dons est donc lancé mais le combat reste difficile. Si la caisse centrale d’activités sociales (CCAS) devrait verser 4 000 € à l’école, l’agence régionale de santé (ARS) n’a pas pu d’apporter son aide pour une question de statut.

« Nous sommes une école pluridisciplinaire et non un institut médico-social », glisse Tina. Et l’Ars ne finance que ce type de structure. Les demandes d’inscription augmentent en tout cas chaque année. Plus de 90 bambins seraient sur liste d’attente, selon la directrice. La faute notamment au manque d’établissement de ce genre dans le pays en général, en Ile-de-France en particulier. Et l’institut ne peut pas suivre, mêem avec la meilleure volonté du monde. « Nous sommes passés de 5 à 10 enfants autistes en 2017 », précise-t-elle. Pour renflouer les caisses, cette mère de famille mise aussi sur l’organisation d’événements caritatifs.

Samedi 31 mars, loto solidaire à 20 heures. Salle polyvalente, 26, rue d’Yerres. Samedi 28 avril, soirée caritative, à 20 heures. Salle des fêtes de l’Orangerie, 40, rue de Cerçay. Renseignements : 06.61.61.99.34.

Source  : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-l-ecole-pour-autistes-menacee-de-fermeture-25-03-2018-7628022.php

mercredi 14 mars 2018

Le Parisien - Val-de-Marne : le mobilier scolaire jeté aux ordures, les habitants scandalisés

La semaine dernière, du mobilier scolaire de l’ancienne école Atilly de Villecresnes a été jeté dans un conteneur à ferraille à la déchetterie. De nombreux habitants sont sous le choc.

« Inadmissible », « honteux », « scandaleux », « un véritable gâchis »… Nombreux sont les habitants de la commune à avoir réagi après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une photo où du mobilier scolaire est jeté à la déchetterie. Mardi dernier, vingt chaises de l’ancienne école élémentaire Atilly fermée depuis un an et demi, ont été apportées à la déchetterie de Varennes-Jarcy (Essonne) par les services municipaux de Villecresnes.

D’ici 2019, le terrain de l’ex-école accueillera des logements collectifs, des commerces ainsi qu’un parking. « Les chaises ont été placées à la benne à ferraille », a confirmé le syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) en charge de plusieurs déchetteries d’Ile-de-France. De quoi faire réagir l’opposition qui considère que ce mobilier était quasi neuf. « Certaines chaises n’avaient pas plus de trois ans », s’insurge Stéphane Rabany, conseiller municipal d’opposition non étiqueté de Villecresnes Avenir.

La municipalité (LR) assure toutefois que ce mobilier était usagé et inutilisable. « Stockées près d’un silo qui en contenait, les vingt chaises avaient les pieds rongés par le sel », a expliqué Frédéric Bassoulet, directeur du Pôle Ressources.

Du côté des riverains, la colère gronde. « La mairie a-t-elle perdu la tête ? Elles n’étaient pas abîmées », s’exclame une habitante. « La ville aurait dû faire un don aux associations », témoigne un retraité. « Ou même les transférer à l’école élémentaire des Merles », poursuit un enseignant.

Donner une seconde vie au matériel restant de l’école Atilly ou tout jeter ? A ce jour, aucune réponse précise n’a pu être apportée par la mairie. « Le reste du mobilier comprenant des tables, des doubles bureaux, des bancs en bois, des petites chaises, des radiateurs et des portemanteaux, est dans un état moyen et correct », a cependant précisé Frédéric Bassoulet.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-mobilier-scolaire-jete-aux-ordures-scandalise-13-03-2018-7606815.php

vendredi 2 mars 2018

Le Parisien - Villecresnes : enquête administrative, après l’affaire de la ferraille

Face au malaise ambiant qui règne en mairie suite à la garde à vue d’agents des services techniques, une enquête administrative a été ouverte par la ville, ce jeudi.

« Des gens qui souffrent, des gens mal psychologiquement, des gens en arrêt maladie, des gens avec des problèmes de santé mentale ». Ambiance à la mairie de Villecresnes ! Une enquête administrative a été lancée ce jeudi et jusqu’au 31 mars sur instruction du maire (LR) pour « vérifier l’exactitude des dires et de qualifier les faits » est-il rapporté dans une note de service à l’attention des 170 collaborateurs de la mairie.

« Avec le comité d’hygiène de sécurité et des conditions de travail, nous avons fait état d’un certain nombre de difficultés à l’intérieur de la mairie », relate le maire Gérard Guille qui appelle à calmer le jeu. Serait-ce l’affaire de la ferraille qui a mis de l’huile sur le feu ? Soupçonnés de trafic de métaux, six agents des services techniques et de la transmission ont été placés en garde à vue le 12 février. Aujourd’hui, l’enquête de police est close et le parquet de Créteil est sur le point de décider des suites judiciaires.

« Protéger les salariés »
« Ce malaise a été déclenché par cette affaire et renforcé par le traitement que la presse en a fait. Depuis, les salariés sont déstabilisés et malades », appuie le maire. Le climat se serait aussi tendu suite à plusieurs plaintes déposées pour harcèlement. Selon la mairie, deux camps sembleraient « se dénigrer » aujourd’hui. « Nous faisons face à des problèmes de comportement et d’éthique », relève Gérard Guille.

Pour l’opposition, cette opération ne servirait qu’« à faire pression sur ceux qui ont déposé plainte ». Ce que réfute fermement le maire : « Il ne faut pas faire d’amalgames. L’objectif de cette enquête administrative est de protéger les salariés pour qu’ils puissent travailler sereinement ». Les personnels ayant « le droit de refuser ces entretiens avec les ressources humaines ».

mercredi 14 février 2018

Le Parisien - Coup de filet à la mairie de Villecresnes pour l’affaire de la ferraille

Six fonctionnaires des services techniques ont été placés à garde à vue lundi pour vol par personne exerçant une mission de service public.

C’était bien de l’abus de confiance, ça se savait et c’était toléré. Voilà, pour résumer, ce qui ressort du placement en garde à vue lundi de six hommes travaillant aux services techniques de la mairie de Villecresnes. Ils ont été interpellés par le groupe économique et financier du SDPJ 94 pour vol par personne exerçant une mission de service public. Aucune charge n’a été retenue en revanche pour le directeur des services techniques qui faisait partie du coup de filet. Tout le monde a été remis en liberté. C’est maintenant au parquet de Créteil de décider des suites judiciaires.

Les agents des services techniques, tous inconnus des services de police, ont reconnu qu’ils se servaient, notamment pendant leurs heures de travail, sur les anciennes friches de la direction des approvisionnements de la Poste à Villecresnes. Sur ces 12 ha, les employés démontaient découpaient, transportaient puis revendaient tous les métaux susceptibles de rapporter de l’argent. « Parmi eux, il y avait un ancien qui travaillait à la poste et qui connaissait bien le site », précise un enquêteur.

Quelques centaines d’euros par personne
La marchandise pouvait être stockée dans une benne à proximité. La ferraille était ensuite transportée dans une entreprise de gestion de déchets située en Seine-et-Marne pour tout vendre. Les agents encaissaient des chèques à leur nom propre.

« Cela faisait des années que cela durait, souffle une source proche du dossier. Ils ont expliqué que l’argent qu’ils se faisaient de cette façon servait à financer leur salle de repos. C’était connu et toléré parce que cela permettait de ne pas payer la déchetterie dont dépend la ville. Les montants ne sont pas élevés. Quelques centaines d’euros par personne. Après ils n’ont pas toujours été les seuls à faire cela. Et il y a sans doute eu des jalousies qui ont conduit à ce que l’affaire éclate ». «Cette affaire est plus compliquée qu’elle en a l’air, ajoute une autre source. Méchants et victimes se confondent parfois ».

Toujours est-il que depuis que les faits ont été rendus publics dans nos colonnes il y a tout juste un an, le climat est devenu nauséabond à Villecresnes où deux camps se toisent. L’un des gardés à vue aurait même confié qu’on lui sifflait les « Portes du pénitencier » quand on le voyait passer. Cette ambiance délétère, marquée par plusieurs plaintes pour harcèlement, avait notamment conduit un corbeau à adresser des photos sinistres à plusieurs personnes plus ou moins concernées par cette affaire. Contacté ce mercredi, le maire (LR) de Villecresnes n’a pas donné suite.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/coup-de-filet-a-la-mairie-de-villecresnes-pour-l-affaire-de-la-ferraille-14-02-2018-7559298.php

lundi 12 février 2018

Le Parisien - Villecresnes : le projet d’aménagement du centre-ville revu à la baisse

L’aménagement de l’espace Atilly au centre-ville prévu d’ici fin 2019, a été révisé par la mairie. L’opposition, mobilisée contre le projet, se réjouit.

Le maire (LR) a-t-il fait marche arrière quant à la modification du plan local d'urbanisme (PLU)? Le projet de réaménagement urbain de l’espace Atilly qui consiste « à redynamiser le centre-ville », a en tout cas vu son nombre de logements en accession à la propriété, réduire, passant de 90 à 79. En septembre dernier, le maire Gérard Guille, avait pourtant confirmé qu’«un immeuble de plus de 90 logements, sur quatre étages plus un rez-de-chaussée verrait le jour sur le terrain de l’ancienne école élémentaire Atilly ».

La hauteur des bâtiments a, elle aussi, été revue à la baisse avec un étage de moins. «Il fallait que ce soit possible sur le plan financier », a expliqué l’élu de la ville qui, suite à une rencontre avec les architectes des bâtiments de France, a convenu que les logements seraient répartis sur trois niveaux.

La pétition lancée par le groupe d’élus d’oppositions de Villecresnes Avenir, qui avait récolté plus de 500 signatures, pourrait avoir pesé dans la balance. Mais la mairie assure qu’il n’en est rien. Selon elle, ce seraient des problèmes d’étanchéité et de pluviométrie révélés dans les études de sol qui auraient entraîné ces modifications. Un problème qu’avait d’ailleurs soulevé l’opposition. Mais pas seulement.

La création d’un parking souterrain de deux niveaux était aussi pointée du doigt. « Cela aggraverait les risques de bouleversement du système hydrologique avec des sinistres pour les riverains », souligne Didier Giard, conseiller municipal (UDI) d'opposition. Finalement, le projet comptera 72 places de parking souterrain sur un seul niveau et 17 places extérieures, gérées par la ville. « Actuellement, on manque de places de parking en sous-sol car cela coûte cher », note la mairie qui en parallèle se félicite d’accueillir 600 m2 de commerces dont elle sera propriétaire. « Il nous faudrait un restaurant brasserie comme lieu de convivialité », lance Gérard Guille. « Nous souhaitons pratiquer des loyers attractifs et créer une nouvelle dynamique commerciale », souligne-t-il. La livraison des bâtiments est prévue d’ici un an.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-projet-d-amenagement-du-centre-ville-revu-a-la-baisse-11-02-2018-7553619.php

Articles cités dans ce texte :
presse-villecresnois.blogspot.fr/2017/12/le-parisien-villecresnes-des-elus.html
presse-villecresnois.blogspot.fr/2017/08/le-parisen-villecresnes-lopposition.html