mercredi 20 février 2019

94 Citoyens - Budget participatif à Villecresnes : le sentier vers la Tégéval primé

C’est un beau projet nature qui a été élu lauréat du premier budget participatif de Villecresnes, au service de la Tégéval et du Réveillon.

Lancé le 6 décembre dernier, la première édition du budget participatif de Vilecresnes a donné lieu à 63 projets et le comité d’évaluation de la ville en a retenu 32 correspondant au cahier des charges. A l’issue de plus d’un mois de vote auquel ont participé 395 habitants, c’est le projet d’accès et aménagements des sentiers au Réveillon, un affluent de l’Yerre, et à la Tégéval, cette liaison verte d’une vingtaine de kilomètres qui doit relier la forêt Notre-Dame depuis Santeny à la base de loisirs de Créteil d’ici à 2020, qui a obtenu le plus de suffrages et sera donc mis en oeuvre.

Proposé par le collectif Ecoquartier Bois d’Auteuil, le projet vise à s’approprier le projet de la Tégéval au niveau local et d’améliorer les sentiers du Réveillon. Concernant la Tégéval, il s’agit de nettoyer le sentier situé entre la rue Gabriel Faure et la route de la Grange. Le tracé Réveillon, lui, part de la rue Gabriel Gaure et traverse la rue du Réveillon et de Mandres jusqu’à la rue de Brunoy. Le collectif propose d’aménager un parcours santé composé de plusieurs modules espacés de quelques centaines de mètres et répartis sur les deux tracés qui se rejoignent rue Faure. Il souhaite aussi aménager une promenade avec l’installation de bancs, tables de pique-nique et poubelles sur les deux tracés. Enfin, ces deux parcours seront signalisés par des panneaux de randonnées. “Ces aménagements pourraient profiter à tous les Villecresnois: familles, associations (pédestres, course à pied, vélo, bien-être). Mais aussi à tous les usagers de la Tégéval extérieurs à Villecresnes. Cela apporterait certainement une valeur ajoutée à notre commune. La proximité de ce projet avec l’école Mélanie Bonis offrirait la possibilité de sorties scolaires à pied sur la TegevalL en passant par la rue Gabriel Faure en toute sécurité. Ce projet limitrophe au site sportif du bois d’Auteuil et du gymnase Didier Pironi permettrait aux nombreuses associations sportives de disposer d’un parcours plein air pour des échauffements dans un cadre nature”, motive le collectif.

“L’ensemble des suggestions de ce projet dépasse très largement le budget participatif de 20 000€, toutefois certains de ces aménagements étaient déjà prévus dans le budget général (tel le défrichage du chemin menant à la Tégéval). Pour les aménagements supplémentaires relatifs au projet, ceux-ci feront l’objet d’un examen par le maire, les élus référents des quartiers et le comité d’évaluation sur leur faisabilité par la mairie. En effet l’aménagement des berges du réveillon dépend du SyAGE, et celui de la Tégéval du Conseil départemental. Des discussions auront donc lieu avec ces deux organisations afin de réaliser au mieux le projet tel que proposé. Il s’agira bien entendu de réalisations sur 2019”, précise la mairie.

Source : https://94.citoyens.com/2019/budget-participatif-a-villecresnes-le-sentier-vers-la-tegeval-prime,20-02-2019.html

lundi 28 janvier 2019

Le Parisien - un centre de santé pour lutter contre la désertification médicale

Face au spectre du désert médical, la mairie rivalise d’ingéniosité, mais surtout de générosité, pour attirer de nouveaux praticiens.

Ne parlez surtout pas du manque de médecins à Janine. Cette Villecresnoise de 70 ans est aujourd'hui obligée de faire dix kilomètres pour trouver un praticien qui accepte de prendre le relais de son généraliste parti en retraite fin décembre dernier. « C'est lamentable de ne plus pouvoir se faire soigner dans sa ville », fulmine cette retraitée désormais suivie à Brunoy (Essonne).

Avec seulement trois généralistes pour 10 000 habitants, la commune est touchée de plein fouet par la désertification médicale. « Si on ne fait rien, ça va être la catastrophe, prévient le maire (LR) Gérard Guille. C'est un combat de tous les jours, la santé est notre priorité, on ne ménagera pas nos efforts », insiste-t-il. Il faut donc trouver un remède et vite. Seule solution pour attirer de nouveaux médecins, créer un centre de santé au loyer attractif.

Un investissement de 150 000 €
L'élu mise tout sur les avantages financiers. « Aujourd'hui, si un jeune praticien doit payer plus de 1 500 € de charges par mois, il n'est pas intéressé », indique-t-il. La structure de plus de 200 m2 pourrait ouvrir ses portes d'ici la fin de l'année, dans la zone des ateliers de Beaumont (à côté du centre technique). Elle permettrait d'accueillir 4 médecins généralistes. Mais encore faut-il avoir des candidatures… « Nous allons réaménager le bâtiment pour un coût d'environ 150 000 € », annonce Gérard Guille. Une bonne nouvelle pour les habitants. Car ici, ces dernières semaines, après le départ en retraite d'un généraliste, plusieurs indicateurs sont vite passés au rouge. Difficultés à trouver un médecin traitant, allongement à près de 15 jours de délai pour obtenir un rendez-vous sans urgence chez l'un des trois généralistes présents sur le territoire.

Villecresnes. Le docteur Thierry Favreau reçoit entre 22 et 35 patients par jour.

Chez le docteur Elbaz, dès l'ouverture du cabinet aux consultations sans rendez-vous, près de 19 patients attendent déjà. Et chaque jour, la salle ne désemplit pas. « On a un rythme effréné nous obligeant à refuser de nouveaux patients », explique Joël Elbaz, installé depuis plus d'une quinzaine d'années dans la commune.

Avec plus de 60 heures par semaine, il faut savoir tenir la cadence. « On s'en va vers une catastrophe sanitaire. On n'est pas à l'abri de passer à côté d'une pathologie », craint le docteur Thierry Favreau, débordé jusqu'à 22 heures. Il reçoit entre 22 et 35 patients par jour en plus de ses consultations à domicile. Pour lui, ces mesures d'incitation à l'installation ne seraient pas suffisantes.

« Les jeunes de nos jours ne veulent pas s'embêter avec toutes les démarches administratives et n'acceptent plus de devoir travailler plus de 35 heures par semaine, poursuit le médecin, âgé de 52 ans. Ils cherchent l'équilibre entre leur vie familiale et leur vie professionnelle et préfèrent s'associer à d'autres. Ils ont sans doute raison. »

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-un-centre-de-sante-pour-lutter-contre-la-desertification-medicale-28-01-2019-7998897.php

dimanche 27 janvier 2019

Le Parisien - la vidéo protection renforcée

Le maire (LR) a annoncé l’installation d’une dizaine de caméras supplémentaires de vidéo protection sur les points sensibles.

Villecresnes, 10 000 habitants, continue de développer son système de vidéo protection. Une dizaine de nouvelles caméras sera installée au premier semestre sur les points sensibles dont les sites communaux, qui n'ont d'ailleurs pas été épargnés par les incendies ces derniers mois. Un projet annoncé lors des vœux. « La phase 1 d'installation portait principalement sur les accès aux écoles, la phase 2 concerne désormais le centre-ville et les points avec des risques de rassemblement », précise le maire (LR) Gérard Guille.

Actuellement, sept caméras de vidéo-protection quadrillent le territoire communal. Le but est d'assurer la sécurité des habitants et de faciliter les enquêtes de la police nationale. Si le budget reste encore à déterminer, la Ville sera dotée de caméras permettant l'identification de plaques minéralogiques coûtant environ 3 000 €. L'édile a aussi évoqué la création d'un centre de surveillance urbaine (CSU), situé dans les locaux de la police municipale qui compte sept policiers.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-video-protection-renforcee-27-01-2019-7998003.php

jeudi 24 janvier 2019

Le Parisien - Villecresnes prépare sa nouvelle école

La structure sera construite dès cette année et livrée à la rentrée 2020 pour accueillir une cinquantaine d’élèves en plus. Une classe sera ouverte en élémentaire à Mélanie-Bonis.

Trop d'élèves, pas assez de classes. Le problème est tel que la mairie de Villecresnes a décidé de construire un nouveau groupe scolaire dès cette année pour une livraison à la rentrée de septembre 2020. Un projet annoncé lors des vœux du maire (LR) Gérard Guille, ce samedi. Car depuis 2014, la population a fortement augmenté (+ 20 %).

« Il y a beaucoup de jeunes couples avec enfants qui s'installent dans la commune, se réjouit l'élu. Et cela rajeunit la population ». Tandis que les demandes de permis de construire ont progressé de 30 % en 2018. Un phénomène notamment lié au nouveau quartier du Bois-d'Auteuil.

Une cinquantaine d'élèves supplémentaires en 2019
La ville étant en pleine expansion, les écoles et la mairie anticipent ainsi l'augmentation des effectifs dans les années à venir. En 2019, 39,53 % d'enfants de maternelle en plus à scolariser sont attendus par rapport à 2017 et près de 25 % en élémentaire, soit au total, environ une cinquantaine d'élèves supplémentaires. D'où la création du groupe scolaire pour un montant d'environ 8,5 M€.

Le nombre de classes reste encore indéfini tout comme le lieu de construction du bâtiment. « Les études sont en cours. Nous penchons pour une école modulaire capable de tenir jusqu'en 2023 en termes d'effectifs », précise l'élu.

Les écoles actuelles sont déjà saturées : le groupe scolaire Mélanie-Bonis avec 556 élèves, l'école des Merles, celle du Château et l'école des Fleurs. Seule l'école du Réveillon est épargnée. Dès la rentrée prochaine, une ouverture de classe est attendue en élémentaire à Mélanie-Bonis, portant le nombre de classes à 17. « Cette ouverture sera temporaire jusqu'à l'arrivée de la nouvelle école », prévient la mairie.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-prepare-sa-nouvelle-ecole-24-01-2019-7996026.php

mardi 15 janvier 2019

Le Parisien - la ville accueille son nouveau kiosque à journaux

Ce lundi, à l’initiative de la Ville, un kiosque a été installé sur le parking du marché. Un équipement très attendu par les habitants. Ouverture prévue le 4 février prochain.

« Bonne nouvelle », « ça manquait », « c'est pratique ». Ce lundi, devant le kiosque à journaux fraîchement installé, les réactions fusent. Et pour cause, ce nouvel équipement de 12 m2 vient pallier la fermeture il y a plus d'un an du point presse situé en face de la mairie. « Cela répond à une réelle attente des Villecresnois », relève le maire (LR) Gérard Guille.

Sur le parking du marché à l'angle de la rue du Réveillon et du Lieutenant-Dagorno, les habitants pourront trouver pas moins de 1 200 titres de presse. Cadeaux souvenirs, jeux de la Française des jeux, offre du PMU, cartes postales ou téléphoniques y seront également en vente. L'ouverture au public est prévue pour le 4 février prochain.

Horaires : du lundi au samedi de 7 h 30 à 19 h 30 et le dimanche de 7 h 30 à 13 heures.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-ville-accueille-son-nouveau-kiosque-a-journaux-15-01-2019-7989198.php

jeudi 3 janvier 2019

Le Parisien - Incendies à répétition : mais qui en veut à la mairie de Villecresnes ?

Depuis début décembre, véhicules et bâtiments de la ville ont été la cible de plusieurs incendies criminels. Un entrepôt et cinq véhicules de la police municipale, des services techniques et du centre communal d’action sociale, ont été touchés.

Des « gamins » comme le suggèrent certains ? Un pyromane assouvissant ses pulsions ou une basse vengeance ? Depuis début décembre, la ville est le théâtre d'incendies à répétition. Qui en est responsable ? Mystère. Mais la cible est toujours la même : les véhicules ou des bâtiments de la commune.

Tout commence le 2 décembre. Une voiture du CCAS (du centre communal d'action sociale) part en fumée. Dans la nuit du 8 au 9 décembre, c'est le bâtiment et les véhicules des services techniques qui sont touchés. En parallèle, un tractopelle dédié aux fouilles archéologiques sur le chantier d'Attilly est ravagé par les flammes, le même jour. Le 29 décembre enfin, deux voitures de la police municipale situées dans l'enceinte du poste de police prennent feu. D'après les premiers éléments de l'enquête, tous ces incendies sont d'origine criminelle.

L'ombre de « l'affaire de la ferraille »
Alors, qui en veut à la mairie? Certains évoquent la piste du règlement de comptes. Selon Marie-Renée Aurousseau, conseillère municipale indépendante, les incendies pourraient être la conséquence de l'affaire dite « de la ferraille ». En février dernier, six fonctionnaires des services techniques avaient été placés à garde à vue pour vol par personne exerçant une mission de service public.

« Avant la série de décembre, le camion avec lequel ils transportaient les métaux revendus illégalement avait été incendié (NDLR : en août) rapporte cette Villecresnoise depuis 50 ans. Je pense qu'on leur en veut toujours… Car aujourd'hui encore, ils se font insulter ».

Des « gamins pyromanes » ?
L'adjoint aux dossiers techniques a une autre théorie. « Ces pyromanes, ce sont sûrement des gamins qui se lancent des défis », estime Daniel Schreiber.

Gamins ou pas, les dégâts subis par « la ferme », le surnom du bâtiment qui abritait les services techniques sont sévères. Avant le nouvel an, le maire (LR) Gérard Guille se désolait : « Nous avons perdu tout le matériel informatique. Et deux camions, dont un frigorifique utilisé pour transporter les repas dans les écoles, sont partis en fumée ».

« Une partie du patrimoine disparaît »
« C'est une partie du patrimoine qui disparaît », ajoute, ému, Daniel Schreiber. Achetée par la commune en 1961, la ferme servait de caserne de pompiers avant d'abriter le dojo d'une association. Seule solution de repli pour les services techniques : le nouveau centre situé près des ateliers de Beaumont, rue d'Yerres. Les employés devaient de toute façon y déménager. « Sur le plan opérationnel, tout était prêt pour les accueillir », précise Daniel Schreiber.

Reste, pour la Ville à encaisser le coût des incendies. « L'incendie de la ferme représente plus de 100 000 € de préjudice », chiffre le maire. Des dégâts qui devraient être pris en charge en partie par les assurances. « Nous attendons le passage des experts », signale Gérard Guille. On ignore en revanche le coût total des dégradations du mois de décembre. Pour l'heure, la sécurité a été renforcée en centre-ville et la police municipale multiplie les rondes. L'enquête, elle, est toujours en cours.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/incendies-a-repetition-mais-qui-en-veut-a-la-mairie-de-villecresnes-03-01-2019-7980531.php

jeudi 27 décembre 2018

Le Parisien - au Bois d’Auteuil, ils se battent pour avoir des commerces

Une pétition a été lancée par des habitants pour que les locaux disponibles, place des Musiciens, accueillent boulangerie et pharmacie, plutôt qu’un pôle médical.

La création du nouveau quartier du Bois d'Auteuil en 2015 a apporté une dynamique dans la ville. Mais si les nouveaux logements poussent, la vie de quartier balbutie, les commerces de proximité, eux, manquent encore. Une pétition vient d'être lancée par le collectif Écoquartier du Bois d'Auteuil pour plébisciter l'arrivée de commerces de proximité.

Déjà, 127 signatures ont été récoltées. Car des locaux commerciaux sont disponibles. Situé à l'angle de la place des Musiciens, un espace de 530 m2 vient d'être acheté par un investisseur. Il devrait y accueillir un pôle médical avec un cabinet de plusieurs chirurgiens-dentistes. L'idée d'une prochaine crèche circule aussi. « En 2014, les promoteurs nous avaient promis l'arrivée d'une supérette à la place », fulmine un membre du collectif.

« Il faudrait juste développer le secteur économique en favorisant l'implantation de nouvelles devantures, telle une boulangerie ou une pharmacie », pointe une mère de famille de la rue du Bois d'Auteuil. « C'est la priorité », renforce une voisine. Actuellement, seuls une épicerie fine, une esthéticienne et un kinésithérapeute animent le quartier aux 400 logements. Malgré l'esprit village conservé, les habitants pointent un certain isolement. « Ici tout le monde se connaît, mais sans commerces, cela pourrait vite devenir une cité-dortoir », craint Marilyne, une habitante de 43 ans.

Une heure pour acheter une baguette
Pour la mairie, cela s'explique par un prix au m2 « trop cher » pour les futurs commerçants. « Il y a un an, on a essayé d'attirer des boulangers mais le projet n'a pas abouti », raconte le maire (LR) Gérard Guille. Tandis que Carrefour avait fait une étude de marché pour installer une supérette il y a deux ans, là encore inachevée. « J'ai suggéré au promoteur immobilier Pichet de faire de la location puisque la vente reste difficile », explique l'élu.

Obligés donc de se déplacer jusqu'au centre-ville pour faire leurs courses, — soit un trajet de 1,5 km —, les riverains les plus âgés déplorent notamment la faible fréquence de passage des bus. « Aller acheter une baguette, cela me prend une heure de mon temps », indique Chloé, 34 ans.

Consciente du problème, la mairie prévoit de nouveaux aménagements. « On veut prétendre à un arrêt supplémentaire en haut du Bois d'Auteuil », annonce le maire en collaboration avec Ile-de-France Mobilités.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-au-bois-d-auteuil-ils-se-battent-pour-avoir-des-commerces-27-12-2018-7977201.php

mardi 22 mai 2018

Le Parisien - Réunion sur les travaux de la rue du Bois-d’Auteuil

CE SOIR se tiendra une réunion publique d’information sur les futurs travaux rue du Bois-d’Auteuil.

La municipalité a sollicité le territoire Grand Paris Sud Est Avenir (T11) afin qu’il engage rapidement des travaux sur les axes de la commune relevant de ses compétences.

Des travaux de sécurisation et de réaménagement vont être réalisés en urgence dans cette zone du Bois-d’Auteuil très fréquentée, proche du site de loisirs et le groupe scolaire Mélanie-Bonis. Au menu : enfouissement des réseaux, requalification de la voirie et maîtrise de la vitesse, création de nouveaux ralentisseurs, mises aux normes des points arrêts bus, réfection complète des trottoirs et création d’espaces paysagers,  réorganisation du stationnement, rénovation de l’éclairage public en LED.

Les travaux sont prévus de mi-juin à fin août en trois phases avec, selon l’avancement, une circulation modifiée et une déviation. Le montant total de l’opération s’élève à environ 206 000 € HT pour le territoire et 100 000 € HT pour la ville.

Ce soir à 19 h 30 dans la salle Cheminée, 1, rue du Bois-d’Auteuil

Source : Le parisien du 22 mai 2018

jeudi 17 mai 2018

94 Citoyens - Disparition d Annie-France Vidon à Villecresnes

Conseillère municipale d'opposition de Villecresnes, élue à la ville depuis 1995, Annie-France Vidon est décédée mardi soir des suites d'un cancer, à l'âge de 69 ans.

« Elle avait exercé ses responsabilités municipales sous 5 maires : Pierre Gravelle, Xavier Pozzo di Borgo, Pierre-Jean Gravelle, Daniel Wappler et Gérard Guille. Durant 13 années, elle fut adjointe au maire en charge des affaires scolaires, fonction dans laquelle elle avait réalisé un travail de fond et gagné la confiance des enseignants, du personnel des écoles, des parents d élèves et de leurs représentants », a salué Daniel Wappler, ancien maire de la ville.

Source : 94.citoyens.com/2018/disparition-dannie-france-vidon-a-villecresnes,17-05-2018.html

mercredi 16 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : Annie-France Vidon n’est plus

La conseillère municipale de l’opposition est décédée mardi soir des suites d’une longue maladie.
Elle se sera battue jusqu’au bout pour lutter contre son cancer. La conseillère municipale Annie-France Vidon est décédée mardi soir à l’âge de 69 ans.

Élue depuis 1995, elle avait exercé ses responsabilités municipales sous cinq maires : Pierre Gravelle, Xavier Pozzo di Borgo, Pierre-Jean Gravelle, Daniel Wappler et Gérard Guille.

Durant 13 années, elle fut adjointe au maire en charge des affaires scolaires, fonction dans laquelle elle avait réalisé un travail de fond et gagné la confiance des enseignants, du personnel des écoles, des parents d’élèves et de leurs représentants. « Elle était passionnée par son travail », se souvient Daniel Wappler, ex-maire (SE) de 2008 à 2014.

Ses collègues élus du groupe d’opposition Villecresnes Avenir au sein du conseil municipal de Villecresnes et l’ensemble des adhérents de l’association, l’ont décrit comme une femme « attentive aux autres, engagée, très investie et très attachée à la ville ».

Elle avait une fille et était grand-mère d’une petite-fille.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-annie-france-vidon-n-est-plus-16-05-2018-7719735.php

mardi 15 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : le marché du centre-ville déserté par les clients

La fréquentation du marché tend à baisser ces dernières années. La faute au manque d’entretien de l’espace couvert et à la concurrence des grandes surfaces.

Des étals vides, des allées désertes, des enseignes abandonnées… Le marché couvert du centre-ville semble à l’agonie. La faute aux grandes surfaces voisines, aux marchés plus attractifs des communes limitrophes.

« Dimanche, jour de marché, les sacs sont maigres, les étals épars et les clients rares », résume un commerçant. En semaine, le jeudi, ce serait pire : près de la moitié de la quinzaine d’étals ne ferait pas son chiffre d’affaires espéré.

« La dépense moyenne sur mon banc est passée de 15 € il y a trois ans à 5 €. Il me faut deux à trois jours pour écouler la production qui partait en une matinée. Mon chiffre d’affaires a baissé de 50 % », explique un primeur. « La population a changé. Il n’y a pas assez de clients de passage. Ce sont surtout les habitués qui viennent me voir », raconte une autre commerçante qui pointe du doigt la concurrence des grandes surfaces voisines.

Sabine, une fidèle du marché a changé ses habitudes. Depuis deux ans, elle fait ses courses au magasin Grand Frais à Servon (Seine-et-Marne). « Cela me revient moins cher », confie-t-elle. « Les gens ont pris d’autres modes de consommation et maintenant c’est trop tard, ils ne sont pas revenus », relève l’un des primeurs.

Des commerçants partis

« Il y a dix ans, on avait beaucoup de spécialités sur les étals. Aujourd’hui, le marché est mort », déplore une retraitée. Seuls un poissonnier, un rôtisseur, un fromager, un volailler, un boucher et des primeurs résistent. Les autres sont partis pour des marchés plus rentables tels que Sucy, Boissy ou Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne).


Autre explication à cette désertion : la tenue même du marché. Plusieurs habitants font état d’un lieu « mal adapté avec des problèmes d’accessibilité, d’insalubrité et de visibilité », ce qui aurait conduit les consommateurs à bouder peu à peu ce rendez-vous.

« Le marché est vieillot, sombre et pas très accueillant. On dirait un hangar. Il faudrait commencer par le rénover pour donner envie à la clientèle d’y venir », souligne Benoit Louveau, boucher dans la ville, hors du marché.

Gérard Guille, le maire (LR), est bien conscient de ces difficultés. Il compte sur l’arrivée de nouvelles familles avec le projet d’aménagement urbain de l’espace d’Attilly pour achalander le marché du centre-ville.

En 2015, une opération spéciale avait été organisée pour redynamiser le marché. L’association des commerçants de Villecresnes avait proposé aux aficionados du marché de gagner une Twingo.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-marche-du-centre-ville-deserte-par-les-clients-14-05-2018-7715739.php

jeudi 10 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : le maire renvoyé en correctionnelle pour diffamation

Villecresnes. Après plus de deux ans de procédure, le maire (LR) Gérard Guille, vient d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel.

Après deux années de procédure.

Après plus de deux années de procédure, le juge d’instruction vient de prononcer le renvoi de l’affaire de Gérard Guille devant le tribunal correctionnel. Le maire (LR) de Villecresnes avait été mis en examen pour diffamation envers particuliers. Plusieurs appels et un pourvoi en cassation avaient déjà été introduits par son avocat.

Le 15 septembre 2015, huit élus de la précédente équipe municipale, dont l’ancien maire (SE), Daniel Wappler, avaient déposé une plainte pour diffamation contre Gérard Guille, suite à des « cris ou des menaces proférés publiquement lors du conseil municipal du 30 juin 2015 ». Le maire avait alors accusé les membres de l’ancienne majorité « d’avoir emmené l’ensemble des dossiers en cours à l’issue de leur mandat ». Les personnes mises en cause avaient considéré que cette accusation « portait gravement atteinte à leur image publique et à leur honneur ».

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-maire-renvoye-en-correctionnelle-pour-diffamation-10-05-2018-7709082.php

dimanche 6 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : la salle culturelle prête à renaître de ses cendres

D’importants travaux de réhabilitation, estimés à 240 000 €, vont être entrepris.
Tombée en décrépitude, la salle culturelle dit « le Fief » retrouvera une nouvelle vie d’ici les prochains mois. D’importants travaux de réhabilitation vont être entamés pour un coût estimé à 240 000 €. Le maire a annoncé, lors du conseil municipal du 2 mai dernier, engager un plan global de rénovation thermique et durable. Une demande de subvention auprès de la Métropole du Grand Paris au titre du Fonds d’investissement métropolitain a d’ailleurs été votée à l’unanimité.

Pierre angulaire de la vie culturelle et associative, le Fief est également dans la ville l’un des lieux cultes des expositions de peinture, sculpture, modelage et de la musique. Le maire Gérard Guille (LR) a rappelé mettre un point d’honneur à l’entretien du patrimoine. La salle d’exposition au rez-de-chaussée a déjà été repeinte. Les fenêtres seront aussi changées pour une meilleure isolation, a-t-on indiqué à la municipalité.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-salle-culturelle-prete-a-renaitre-de-ses-cendres-06-05-2018-7701573.php

jeudi 3 mai 2018

Le Parisien - Villecresnes : la mairie lâche l’école pour autistes

Cette année, la ville n’accordera pas de subventions à l’association « Espoir autisme » qui gère une école privée pour enfants autistes. Celle-ci risque de fermer ses portes d’ici la fin mai.
L’association « Espoir Autisme » qui gère une école pour enfants autistes va mal. La subvention dont elle bénéficiait l’an dernier de la part de la mairie n’est pas renouvelée cette année. C’est ce qui a été voté ce mercredi au conseil municipal lors de la répartition de la subvention communale évaluée à 214 462 € aux associations. Pour la présidente d’« Espoir autisme », c’est le coup de massue de trop. Déjà en difficultés financières depuis le début de l’année, elle comptait sur le soutien de la municipalité pour maintenir l’école à flot.

L’an dernier, la ville avait accordé une subvention exceptionnelle de 20 000 € et financé une soirée caritative à hauteur de 7 800 € dont tous les bénéfices avaient été reversés à Espoir Autisme (14 000 €). « Le maire LR, Gérard Guille s’était engagé à plusieurs reprises, publiquement, à pérenniser l’établissement », souligne Tina Bento.

« Il n’a jamais été question de réattribuer une telle somme en 2018, rapporte Thierry Debarry, adjoint de la vie associative et de la jeunesse. On a des budgets contraints », poursuit-il. La mairie insiste sur le fait que le centre communal d’action sociale (CCAS) verse déjà 4 000 € à l’association soit 500 € de plus qu’en 2017. Une somme toutefois insuffisante à la survie de l’école. « La mairie s’est beaucoup mobilisée depuis sa création. C’est à l’Etat et au député de jouer leur rôle », signale Thierry Debarry.

Risque de fermeture fin mai
L’école « L’Etoile » qui accueille actuellement dix enfants âgés de 3 à 14 ans risque de fermer ses portes d’ici la fin mai, selon sa présidente « si aucune subvention n’est trouvée d’ici là ». Près de 98 enfants seraient sur liste d’attente.

« Au mois d’avril, il a été compliqué de payer les salaires des éducateurs », confesse Tina Bento. Pire, elle craint la perte de l’agrément (établissement d’enseignement du premier degré privé hors contrat) de l’Education nationale. Le branle-bas de combat pour trouver des subventions est donc lancé. L’association a déjà interpellé les commerçants de la ville. « Il nous manque 20 000 € pour tenir jusqu’en septembre », affirme la présidente.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-mairie-lache-l-ecole-pour-autistes-03-05-2018-7696641.php
article précédent sur le même sujet : presse-villecresnois.blogspot.fr/2018/03/le-parisien-villecresnes-lecole-pour.html

vendredi 27 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes Venez croquer la pomme

LE VERGER DU MONT-EZARD et ses 70 pommiers et autres arbres fruitiers vous accueillent demain.
L’association les Croqueurs de pommes vous propose une visite pour comprendre la vie du verger au fil des saisons, de la floraison à la taille en passant par la récolte. Les visiteurs apprendront à analyser la forme des fleurs, à connaître les étapes de développement pour obtenir des pommes, les facteurs d’échec et les moyens pour optimiser la production.

Demain (samedi 28 avril), de 14 heures à 17 heures. Visite gratuite.
Rendez-vous route du Réveillon. Infos et réservations sur Tourisme - valdemarne.com ou au 06.60.74.93.72

Source : Le Parisien du vendredi 27 avril 2018

jeudi 26 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes Une soirée en faveur des enfants autistes

POUR SOUTENIR les enfants autistes, l’association Espoir autisme 94 organise une soirée caritative samedi.
Au programme : dîner, ambiance musicale et tombola.

Ouverte en 2011 à Villecresnes, l’école L’Etoile spécialisée pour les enfants autistes est aujourd’hui menacée de fermeture, faute de financement.

Elle accueille dix enfants encadrés par huit éducateurs.
Devant l’urgence de la situation, la mairie a lancé une campagne de dons.
Le dernier événement du 31 mars, un loto solidaire, a permis de récolter 3 000 €.

A 20 heures salle de l’Orangerie du château. Tarif : 35 € (adulte) et 15 € (enfant). Réservation auprès 
de Tina Bento au 06.61.61.99.34.

Source : Le Parisien du jeudi 26 avril 2018

mercredi 25 avril 2018

Le Parisien - Villecresnes : comment sauver les commerces du centre-ville

Confrontés à l’explosion des grandes surfaces en périphérie et à l’évolution des modes de consommation, les magasins de proximité résistent mal.
Encore une victime. Après le pressing qui a fermé ses portes après 40 ans d’existence, c’est au tour de la Maison de la presse de baisser le rideau. Le magasin n’aurait trouvé aucun repreneur. Et les fermetures se multiplient. La faute aux loyers trop élevés, selon le maire (LR), Gérard Guille.

Les habitants boudent ainsi de plus en plus les commerces de proximité préférant privilégier les zones commerciales qui s’étendent en périphérie de la commune. « Je n’ai pas envie de prendre une amende lorsque je vais acheter ma baguette de pain », souffle une riveraine. Le maire affirme qu’avec le projet d’aménagement de la place d’Attilly, 72 places supplémentaires seront aménagées fin 2019.

Désarmés face à la concurrence de la grande distribution, de nombreux commerçants du centre-ville déserté mettent la clé sous la porte ou déménagent vers les espaces périurbains. Sans parler de la concurrence du commerce en ligne qui a pris de l’ampleur ces dernières années. Un salon de coiffure se donne jusqu’à la fin de l’année pour savoir s’il continue l’aventure ou non. « Pour l’instant j’essaye de tenir le coup », soupire la gérante. Pour certains professionnels de la rue du Réveillon, la multiplication des vitrines vides fait fuir les repreneurs. « C’est tout le commerce de proximité qui souffre de cette désertification », relève une commerçante.


Certains s’accrochent pourtant, à en croire Daniel Wappler, ex-maire (SE). « Les commerces de bouche résistent car leur politique tarifaire est attractive. Dans les boulangeries et les boucheries, la clientèle est assez fournie », observe-t-il. La boucherie Seys réussit, elle, à garder la tête hors de l’eau. Créée dans les années 2000, elle a su « fidéliser sa clientèle et maintenir son chiffre d’affaires », assure le boucher Benoît Louveau.

La solution pour redynamiser le centre-ville ? Une brasserie. Plusieurs Villecresnois regrettent celle qui « rassemblait la population », il y a près de six ans. Elle pourrait revoir le jour que vite que prévu. La place d’Attilly devrait accueillir 600 m2 de commerces dont un restaurant-brasserie réclamé par la mairie.

Source : www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-comment-sauver-les-commerces-du-centre-ville-25-04-2018-7683192.php

vendredi 13 avril 2018

Le Parisien - Tous unis contre le projet de prison à Limeil

Lors du conseil municipal de mercredi, la municipalité a voté une motion contre le projet d'implantation d'une prison à Limeil-Brévannes et sur une autre commune du Val-de-Marne.

Lors d'une marche de protestation en mars, le maire (LR) de Villecresnes, Gérard Guille, ne mâchait pas ses mots quant à la possible implantation de la future prison à Limeil-Brévannes qui pourrait accueillir 180 détenus en fin de peine. "La municipalité s'oppose fermement à ce projet. Il y a déjà une prison à Fresnes", affirme-t-il. Cette dernière regroupe aujourd'hui près de 2600 détenus.

Mercredi, à l'occasion du conseil municipal, le maire a donc présenté une motion relative au projet qui pourrait voir le jour sur le site de la Ballastière nord à Limeil. Le texte a été adopté à l'unanimité. "Nous souhaitons une meilleure considération des élus locaux", tonne Gérard Guille. Dans cette motion, les élus de Villecresnes expliquent "refuser" catégoriquement de se voir imposer une telle mesure qui ajoute à la ségrégation territoriale et à une stigmatisation injustifiée". le maire a par ailleurs indiqué qu'il serait demandé au gouvernement, "un plan de rénovation pénitentiaire à Fresnes".

Les élus s'inquiètent aussi d'un deuxième site pénitentiaire dans le Val-de-Marne, à l'étude dans le département.

Source : Le parisien papier du 13 avril

94 Citoyens - Tous les secrets du Verger du Mont-Ezard

Le Mont Ezard est un espace boisé d’environ 23 ha, à la flore remarquable, situé sur les communes de Villecresnes et de Marolles-en-Brie (plateau Briard). Il délimite la fin des riches plaines agricoles de la Brie et fait le pont avec la zone dense de la métropole après la traversée de l’Arc Boisé.

Samedi 28 avril (initialement prévu le 14/4) : Promenade au verger en fleur
Venez vous balader dans le verger de Villecresnes pour observer la floraison et repérer les insectes pollinisateurs. Les bénévoles de l’association décoderont pour vous le port et la floraison d’un pommier : Pourquoi a-t-il cette allure ? Comment circule la sève et comment fonctionne la fructification ? Quelles sont les conditions pour avoir une bonne pollinisation et pourquoi la pollinisation croisée (entre plusieurs arbres) est-elle essentielle ? Quel est le rôle de l’abeille, pollinisateur n°1 pour les pommiers ? Vous apprendrez aussi à analyser la forme des fleurs, à connaitre les étapes du développement vers l’obtention des pommes, les facteurs d’échec et les moyens pour optimiser la production fruitière.

Samedi 29 septembre : La récolte
Les Croqueurs de pommes vous invitent à cueillir, observer, décrire et déguster les variétés locales. Au programme, promenade sous les arbres, gaulage des pommes,  ramassage avec numérotation des sacs et repérage des pommiers sur plan. Des panneaux d’exposition vous permettront de mieux connaitre le vocabulaire de la pomologie et les différentes variétés. Après avoir observé et analysé la maturité des fruits, une dégustation de fruits frais et de tarte aux pommes « maison » vous sera proposée.

Samedi 8 décembre : Restructuration des arbres fruitiers par la taille
Décembre et le début d’année, sont les périodes les plus recommandées pour la taille des fruitiers. Pour des arbres âgés et peu entretenus, il faut commencer par les restructurer, en éliminant les bois morts, les branches qui se chevauchent, et souvent tous les parasites qui n’ont pas manqué d’envahir les branches, guis, lierres, lianes diverses. Ensuite vient une remise en forme pour leur restituer l’aspect idéal d’un fruitier bien soigné. Les Croqueurs de pommes vous transmettront tous leurs secret pour un verger bien entretenu.

L’association Les Croqueurs de pommes milite pour la sauvegarde des variétés fruitières régionales en voie de disparition, Ses activités principales sont la pomologie (connaissance des variétés fruitières) et l’arboriculture (taille, greffe, soins du verger).

Cet atelier est proposé dans le cadre du programme d’activité « Animons la Tégéval » dont vous pouvez retrouver tout le programme sur cette page : reservation.tourisme-valdemarne.com/fr/501_tegeval.

La Tégéval est une coulée verte de 20km en Val-de-Marne. Il s’agit d’une liaison verte, aujourd’hui partiellement aménagée, destinée aux piétons, aux personnes à mobilité réduite et aux cyclistes. Ce projet régional d’envergure reliera à terme le parc du Val-de-Marne à Créteil, à la forêt Notre-Dame, à Santeny.

Projet exemplaire de réaménagement du territoire par le paysage, la Tégéval est pilotée par le Syndicat Mixte d’Étude et de Réalisation (SMER) pour la Région Île-de-France et son Agence des espaces verts, le Conseil départemental du Val-de-Marne et en partenariat avec les 8 villes traversées par le parcours : Créteil, Valenton, Limeil-Brévannes, Villecresnes, Yerres, Marolles-en-Brie, Mandres-les-Roses et Santeny. Vidéo : vimeo.com/116658969

SAMEDI 28 AVRIL 2018 - 14:00/16:00
Samedi 29 Septembre 2018 - 14:00 - Date complète
Samedi 08 Décembre 2018 - 14:00/16h00

Gratuit

Sources :
94.citoyens.com/evenement/secrets-verger-mont-ezard
reservation.tourisme-valdemarne.com/fr/906-verger-tegeval.html

mardi 10 avril 2018

Le Parisien - Partagez vos souvenirs de la Grande Guerre


La municipalité fait appel aux souvenirs des Villecresnois pour son exposition sur le centenaire de la guerre 14-18, coorganisée avec les associations Union nationale des combattants (UNC) et Villecresnes Patrimoine (AVSP).

Du 22 au 30 septembre, cette exposition sera réalisée à partir de documents, d'objets de souvenirs collectés auprès des habitants : lettres, photos, médailles, journaux... "Tout ce qui peut avoir un lien avec la Première Guerre mondiale nous intéresse" a indiqué la mairie.

Si vous ou vos proches possédez des documents et acceptez de les prêter à cette occasion, vous pouvez contacter Jean-Claude Janès, président de l'UNC jcj40@dbmail.com ou Thierry Debarry, maire adjoint : t.debarry@villecresnes.fr

Source : journal papier du 10 avril 2018