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samedi 12 août 2017

Le parisien - Val-de-Marne : l’usage de l’eau limité dans 16 communes du département



Suite à la baisse continue du débit du Réveillon depuis la mi-juin, un arrêté préfectoral a été pris pour limiter la consommation d’eau dans 16 communes du Val-de-Marne.


Du stade de la vigilance, il est passé à celui de l’alerte. Dans le Val-de-Marne, depuis la mi-juin, les débits du Réveillon ne cessent de baisser. Des mesures de limitation des usages de l’eau et des activités le long de cette rivière et sous-affluent de la Seine par l’Yerres ont donc été prises par la préfecture. Le remplissage des piscines, lavage des voitures ou trottoirs, arrosage des espaces verts, etc., est donc limité jusqu’à nouvel ordre, à certaines heures seulement. 16 communes* du sud-est du département sont concernées.


*Boissy-St-Léger, Bonneuil-sur-Marne, Champigny-sur-Marne, Chennevières-sur-Marne, Limeil-Brévannes, Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Noiseau, Ormesson-sur-Marne, Périgny-sur-Yerres, Le Plessis-Trevise, La Queue-en-Brie, Santeny, Sucy-en-Brie, Villecresnes et Villeneuve-Saint-Georges.


Source : www.leparisien.fr/ablon-sur-seine-94480/val-de-marne-l-usage-de-l-eau-limite-dans-16-communes-du-departement-11-08-2017-7188327.php

vendredi 14 juillet 2017

Le Parisien - Villecresnes : inscriptions toujours ouvertes pour les Rencontres Artistiques


La 10e édition de ces rencontres aura lieu le samedi 16 et le dimanche 17 septembre.


Les candidatures seront enregistrées tout l’été mais mieux vaut s’inscrire rapidement. Samedi 16 et dimanche 17 septembre, Villecresnes organise la 10e édition de ses Rencontres artistiques.A cette occasion, tout un chacun peut participer aux différents concours, dont trois d’entre eux sont « en atelier ». C’est-à-dire que les participants devront créer cet été, une œuvre sur le thème « transformation » pour la présenter au concours de septembre.

En tout, six concours dotés de prix allant de 50 à 100 € verront s’affronter les participants. Peintres, dessinateurs, illustrateurs, sculpteurs, photographes… Il y en a pour tous les goûts !

Les inscriptions se font à la Maison des Association, 44bis rue de Brunoy, par téléphone au 06.14.84.46.05 ou par mail à concours@acsfv.fr. / informations : rencontres.acsfv.fr

Source: www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-inscriptions-toujours-ouvertes-pour-les-rencontres-artistiques-13-07-2017-7132788.php

Le Parisien - Val-de-Marne : la semaine de quatre jours confirmée pour 14 communes



Le CDEN qui s’est tenu ce jeudi a définitivement entériné ce changement dès la rentrée de septembre.


C’est officiel. Quatorze communes* du Val-de-Marne passeront bien à la semaine de quatre jours dès cette rentrée 2017.
Ce jeudi après-midi, le CDEN (Conseil départemental de l’Education nationale) qui ne s’était pas tenu la semaine dernière faute de participants, a finalement eu lieu.
« Heureusement, quand un CDEN est reporté, la fois d’après il n’est pas nécessaire d’atteindre le quorum pour qu’il ait lieu », commente Luc Bénizeau, représentant Snudi-FO, qui en profite pour pointer du doigt les camarades qui ne se sont pas présentés. Sans surprise, l’inspection académique a donc confirmé le passage de quatorze communes du Val-de-Marne à la semaine de quatre jours.

Les enfants scolarisés dans ces villes auront 24 heures hebdomadaires d’enseignement réparties sur quatre jours, lundi, mardi, jeudi, vendredi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30.

*Ablon-sur-Seine, Joinville, Limeil-Brévannes, Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Noiseau, Ormesson, Périgny, Le Plessis-Trévise, La Queue-en-Brie, Saint-Maur, Santeny, Thiais, Villecresnes.

Source : www.leparisien.fr/joinville-le-pont-94340/val-de-marne-la-semaine-de-quatre-jours-confirmee-pour-14-communes-13-07-2017-7132749.php

lundi 10 juillet 2017

Le parisien - Villecresnes : deux mois de travaux pour renforcer la sécurité


Tout l’été, la rue du Lieutenant Dagorno sera en travaux et la circulation y sera complètement coupée.


Pendant deux mois, la circulation sera complètement coupée. Rue du Lieutenant-Dagorno à Villecresnes, entre les rues de Garenne et du Bois-Prie-Dieu des travaux ont lieu dès ce lundi et jusqu’au début du mois de septembre.

Financés par le conseil départemental pour un coût de 282 000 euros, ces travaux ont pour objectif de « renforcer la sécurité de tous les usagers », « d’améliorer le confort de la circulation » et de « diminuer les nuisances sonores ». Les traversées piétonnes seront également mises aux normes d’accessibilité.

Les travaux seront réalisés de jour, entre 8 heures et 17 heures mais nécessiteront de fermer intégralement la circulation, de jour et de nuit, au niveau où ils sont menés. Des itinéraires de déviations sont mis en place.

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-deux-mois-de-travaux-pour-renforcer-la-securite-10-07-2017-7124271.php

samedi 8 juillet 2017

Le Parisien - Val-de-Marne : le retour à la semaine de quatre jours validé la semaine prochaine


Le conseil départemental de l’Education Nationale a été reporté au 13 juillet, faute de quorum.

Il devait être exceptionnel, il est finalement inexistant. Ce vendredi, un CDEN (conseil départemental de l’Education Nationale) extraordinaire devait se tenir afin d’entériner le passage pour 14 communes du Val-de-Marne à la semaine de quatre jours, dès la rentrée 2017.

À la liste des treize déjà connues* s’est ajoutée Marolles-en-Brie. Mais même si Luc Benizeau de SNUDI FO ne doute pas qu’elles seront toutes validées, il faudra attendre la semaine prochaine pour en avoir le cœur net.

« Malgré la représentation des collectivités territoriales, des personnels des établissements d’enseignement et des usagers (parents d’élèves et associations), écrit la direction académique dans un communiqué, le quorum n’était pas atteint. Le CDEN est reporté au 13 juillet après-midi ».
*Ablon-sur-Seine, Joinville, La Queue-en-Brie, Le Plessis-Trévise, Limeil-Brévannes, Mandres-les-Roses, Noiseau, Ormesson, Périgny, Saint-Maur, Santeny, Thiais, Villecresnes.

Source : www.leparisien.fr/ablon-sur-seine-94480/val-de-marne-le-retour-a-la-semaine-de-quatre-jours-valide-la-semaine-prochaine-07-07-2017-7118859.php

vendredi 7 juillet 2017

Le Parisien - Villecresnes : découverte ornithologique


L’association Nature & Société initie à l’ornithologie le long de la Tégéval, la coulée verte longue de 20 km, qui doit relier Créteil à Santeny. Au programme : photographies, pose de nichoirs et création d’un petit livre de poche « la Tégéval à tire d’ailes ». Ce samedi, l’association vous propose une balade-découverte au verger du Mont-Ezard à Villecresnes, le plus grand verger du département.
Ce samedi, à partir de 14 heures, rue du Réveillon à Villecresnes. 2 €. Réservations sur le site du comité départemental du tourisme.

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-decouverte-ornithologique-07-07-2017-7118232.php

Le parisien - Villecresnes lance son service d’information rapide


La ville a présenté ce mercredi sa nouvelle plate-forme permettant de signaler tous les problèmes de voirie instantanément. Problème de voirie ou d’éclairage ?

De propreté ou de sécurité ? Villecresnes crée un service d’intervention rapide (SIR) pour répondre à tout ce que vous pourriez remarquer sur la chaussée.

« Le désordre génère le désordre, commente le maire (LR) Gérard Guille, et avec, une mauvaise image des villes. Donc les citoyens sont les mieux placés pour prévenir des problèmes qu’ils constatent dans leurs quartiers ».

Pour faciliter la prise de contact avec la mairie, cette dernière a mis en place une plate-forme sur le site Internet, où le riverain peut remplir un formulaire. Directement envoyé à la référente du service, le formulaire est traité dans les six jours ouvrés. Pour les réticents à Internet, le formulaire peut aussi être rempli par un agent en mairie ou via un numéro vert.

source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-lance-son-service-d-information-rapide-06-07-2017-7115928.php

jeudi 29 juin 2017

Le Parisien - Les députés du Val-de-Marne en bonne place à l’Assemblée nationale

Jean-Jacques Bridey (LREM), Luc Carvounas (PS), Guillaume Gouffier-Cha (LREM) et Laurent Saint-Martin (LREM), députés du Val-de-Marne prennent sous cette nouvelle législature de hautes fonctions à l’Assemblée nationale. LP

Quatre députés sur les onze du département ont été désignés à de hautes responsabilités.

Le Val-de-Marne en force à l’Assemblée nationale. Quatre parlementaires, deux novices et deux plus aguerris, viennent d’être désignés à de hauts postes au Palais-Bourbon. En revanche, la présidence de la commission des Finances a échappé au député de la 4e circonscription (Le Perreux), Gilles Carrez, qui occupait précédement ce fauteuil.

Saint-Martin (LREM), vice-président aux Finances. Le député de la 3e circonscription (Villeneuve-Saint-Georges) est connu pour son expertise en matière de finances. Il a travaillé à la Banque publique d’investissement et vient de quitter Euronext. Ce jeudi, Laurent Saint-Martin, « ravi et honoré » devient le vice-président de la commission des Finances, pour cette première partie de mandat. Il était pressenti pour devenir le rapporteur général du budget. Une fonction qu’il occupera à mi-législature, dans deux ans et demi.

Bridey (LREM), préside la Défense. Jean-Jacques Bridey, député ex PS réélu sous l’étiquette de La République en marche dans la 7e circonscription (Fresnes-L’Haÿ), a bien été élu ce jeudi président de la commission de la Défense nationale. Lui qui était déjà membre de cette commission sous la précédente législature était pressenti depuis plusieurs semaines. Il a été désigné à l’unanimité, non sans satisfaction mais avec « conscience de la mission qui va être bien chargée ». Le maire de Fresnes, qui passera la main à la tête de la commune dans quelques jours, avait fait partie des premiers élus à suivre Emmanuel Macron et son mouvement En Marche !

Carvounas (PS), secrétaire de l’Assemblée. C’est tard dans la soirée de mercredi que le bureau de l’hémicycle a été composé. Parmi les 22 membres,

jeudi 4 mai 2017

Le Parisien - la mairie porte plainte après l’altercation avec le pharmacien

Villecresnes, ce mardi. C’est sur ce rond-point qu’un simple refus de priorité a dégénéré vendredi. LP/D.C.

La mairie de Villecresnes rétorque après la plainte déposée vendredi dernier par le pharmacien à l’encontre de policiers municipaux pour arrestation arbitraire. La municipalité a insisté auprès du commissariat pour qu’une plainte soit prise ce mercredi pour des « violences légères ».

Après un banal refus de priorité, les policiers municipaux avaient menotté puis conduit au commissariat ce praticien de 60 ans. Les policiers nationaux l’avaient aussitôt relâché. « Il a eu un comportement très agressif », estime Valère Villa, l’adjoint au maire (LR) chargé de la sécurité. Et de préciser que même si aucun coup n’a été porté, le pharmacien aurait « agrippé violemment le policier municipal » alors que ce dernier « essayait de le calmer et s’apprêtait à lui délivrer un simple rappel à la loi ».

Une version contredite par le praticien qui, lui, reconnaît qu’il a bien posé la main sur l’épaule du policier pour l’inviter à se rendre à la mairie avec lui. C’est le parquet qui décidera des suites de cette affaire.

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-la-mairie-porte-plainte-apres-l-altercation-avec-le-pharmacien-04-05-2017-6917637.php

mercredi 3 mai 2017

Le Parisien - des policiers municipaux visés par une plainte pour « arrestation arbitraire »

Villecresnes, ce mardi matin. C’est sur ce rond-point qu’un banal refus de priorité entre des policiers municipaux et le pharmacien a abouti à une interpellation rocambolesque. LP/DC

Ils ont conduit au commissariat un homme qu’ils venaient d’interpeller. Ils en sont ressortis avec une plainte déposée à leur encontre pour arrestation arbitraire. Des policiers municipaux de Villecresnes se retrouvent dans le collimateur après l’interpellation rocambolesque du pharmacien vendredi dernier. Il est 14 h 30 quand cet homme de 60 ans sort de son officine située place du marché. Au volant de sa voiture, il part déposer sa recette à la banque. Devant la mairie, en face de la pharmacie, il s’engage sur le rond-point en même temps que la Kangoo des policiers municipaux. Que se passe-t-il après précisément ? Pour les fonctionnaires, il refuse une priorité. Pour le praticien, les policiers ont accéléré pour se rapprocher de son pare-chocs. Pas de choc, pas de blessé. L’automobiliste se voit intimer l’ordre de se garer. Et les choses s’enveniment.

Le pharmacien explique mettre la main sur l’épaule d’un policier pour lui montrer la mairie où il veut discuter de la situation avec le maire. Alors que les policiers restent sur place, le praticien s’y rend. Il est reçu par la première adjointe. Le chef de la police municipale les rejoint. Ils retournent dehors, le ton monte et le pharmacien est interpellé et menotté. Toutes sirènes hurlantes, il est conduit au commissariat de Boissy-Saint-Léger.

Sauf que sur place, cela ne se passe pas comme prévu. Pour le refus de priorité, il ne peut s’agir que d’une simple contravention. L’officier de police judiciaire considère aussi que l’outrage et la rebellion ne sont pas caractérisés. Bref, il faut remettre en liberté le pharmacien tout de suite. Non sans avoir dépêché un véhicule de police pour surveiller la voiture du praticien où se trouve toujours la recette. Et dans la foulée, l’intéressé, qui n’a pas souhaité s’exprimer « pour que la situation s’apaise » et qu’il puisse continuer à « travailler tranquillement », dépose plainte pour arrestation arbitraire.

« Il est néanmoins très choqué d’avoir été traité de la sorte, souffle un de ses proches. On avait l’impression que les policiers municipaux venaient d’interpeller Mesrine. Il s’est installé à Villecresnes il y a quelques mois justement pour être tranquille. » Ce mercredi, la municipalité a annoncé que « le maire attendait le rapport de la police pour se prononcer ». Et de préciser qu’un « rendez-vous a été fixé avec le pharmacien vendredi. »

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-des-policiers-municipaux-vises-par-une-plainte-pour-arrestation-arbitraire-03-05-2017-6912750.php

lundi 24 avril 2017

Le Parisien - disparition de l’ancien maire


L’ancien maire de Villecresnes, Xavier Pozzo di Borgo, s’est éteint à l’âge de 76 ans le 12 avril, a-t-on appris ce lundi. Premier magistrat en 2001, après le départ de Pierre Gravelle au côté duquel il avait siégé, il avait quitté ses fonctions en 2003 pour des raisons personnelles. Ces dernières années, il s’était retiré dans le sud de la France. Le conseiller départemental (LR) Pierre-Jean Gravelle salue « un homme cherchant le consensus pour qu’à Villecresnes, il fasse toujours bon vivre ». Il avait notamment œuvré pour la construction de l’intercommunalité au sein du Plateau briard.

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-disparition-de-l-ancien-maire-24-04-2017-6885318.php

mardi 18 avril 2017

Le Parisien - Plateau briard : la fausse augmentation des impôts locaux

Villecresnes. Comme pour d’autres villes du Val-de-Marne, l’augmentation des impôts locaux dans la commune est en fait liée à l’intégration d’une autre taxe. Le Parisien

Pour l’année 2017, les impôts locaux ont de fait augmenté dans quatre villes du Val-de-Marne car la base de calcul a évolué. Depuis les premier janvier, les communes collectent pour le compte du territoire la taxe liée à l’eau et à l’assainissement. Ainsi, à Marolles-en-Brie, Périgny, Santeny et Villecresnes, l’augmentation sur le papier est seulement due à l’intégration dans les impôts locaux de cette taxe. Les taux sont donc artificiellement gonflés mais se traduisent par une opération blanche pour le contribuable. A Villecresnes, la taxe d’habitation a ainsi gonflé de 4,83 %, passant à 24,88 % et la taxe foncière bâti de 7,19 %, passant à 20,49 %.

Source : www.leparisien.fr/santeny-94440/plateau-briard-la-fausse-augmentation-des-impots-locaux-18-04-2017-6864891.php

lundi 17 avril 2017

Le Parisien - dernier jour pour le concours de la Saint-Parfait


« Souriez, vous êtes parfaits ! » Et c’est l’UVAC (Union villecresnoise des artisans commerçants) qui le dit. Ce mardi est le dernier jour pour participer au grand jeu concours organisé dans toute la ville. Le but du jeu est simple : prendre des selfies devant les commerces de l’UVAC et les poster avec un commentaire et le hashtag #StParfait sur la page Facebook de l’union et/ou sur Twitter. Les trois photos recevant le plus de « J’aime » gagneront le concours et remporteront ainsi chacun un panier garni rempli par les commerçants de l’association. L’union des commerçants, qui se targue de « ne pas manquer d’idées et d’énergie pour dynamiser le commerce de proximité et tisser des liens avec les Villecresnois ». Les dernières photos doivent être postées ce mardi avant 18 heures.

vendredi 7 avril 2017

Le Parisien - Villecresnes : les policiers rattrapent les cambrioleurs dans l’Essonne


Trois hommes ont été interpellés dans l’Essonne, jeudi après-midi, après un cambriolage à Villecresnes. Les policiers sont appelés pour un cambriolage en cours dans un pavillon rue de Brunoy. Lorsqu’ils arrivent, cinq personnes en sortent en courant et parviennent à s’enfuir. Les policiers finissent par en rattraper trois dans la commune limitrophe de Brunoy. L’un d’eux sera légèrement blessé à l’épaule au cours de l’intervention. Les trois hommes ont été placés en garde à vue au commissariat de Boissy-Saint-Léger, chargé de l’enquête.


dimanche 2 avril 2017

Le Parisien - Affaire de la ferraille : le maire de Villecresnes contre-attaque

Villecresnes, mars 2016. Le maire (LR) Gérard Guille a annoncé qu’il « sanctionnerait les coupables selon les conclusions de la justice ». Il a aussi prévenu qu’il était prêt à attaquer les « auteurs de calomnies » LP/Q. L

Une promotion pour les suspects, des sanctions pour les lanceurs d’alerte. L’affaire de la ferraille connaît de nouveaux rebondissements à Villecresnes. Les deux fonctionnaires qui l’avaient dénoncée auprès de leur hiérarchie et qui craignaient des représailles vivent en tout cas une mauvaise période. Alors que l’ex-directrice générale des services vient d’apprendre par un courrier recommandé signé du maire qu’elle faisait l’objet d’une procédure disciplinaire, un des employés des services techniques qui avait révélé l’affaire, a été reçu par le nouveau directeur du pôle ressources. A partir de ce lundi, il est affecté sur un nouveau secteur.

Comme nous l’avions révélé dans nos colonnes, pendant des années, au moins une demi-douzaine d’employés des services techniques de la ville a pillé, notamment pendant leurs jours de travail, les anciennes friches de la direction des approvisionnements de la Poste. Ils récupéraient les métaux qu’ils revendaient à leur profit. Depuis au moins 2012, près de 130 voyages auraient ainsi été faits pour se faire payer 40 t de ferraille.

La benne où était entreposée la ferraille avant d’être revendue illégalement
Un employé honnête aurait prévenu le maire à l’été 2015. Comme rien ne changeait, il s’est adressé en janvier 2016 à la directrice générale des services, qui, à son tour, a pressé le maire d’ouvrir une enquête administrative. Débarquée, se disant harcelée, elle vient de recevoir, près un an après sa mise à l’écart, un courrier du maire lui reprochant notamment « d’avoir défié [son] autorité ».

Le maire (LR) Gérard Guille, qui dispose de preuves sur ce trafic depuis avril 2016, n’a porté plainte au parquet que deux mois après. Dans son édito du journal municipal, alors que nous le sollicitons en vain depuis la révélation de l’affaire, il assure avoir « depuis septembre 2015 mis en place avec le directeur actuel des services techniques une procédure permettant de tracer la vente de métaux ». Le hic, c’est que ce directeur est soupçonné par les enquêteurs d’être impliqué. Il a malgré tout déjà reçu une promotion comme du reste un autre employé des services techniques. Quoi qu’il en soit, « selon les conclusions de la justice, promet le maire, je sanctionnerai les responsables ». Et de prévenir : « Par contre s’il s’agit de calomnies, je prendrai les dispositions nécessaires pour donner une suite pénale appropriée à ces calomnies et à ceux qui les ont colportées ».

Sur le plan pénal, le commissariat de Boissy a été dessaisi. C’est dorénavant le groupe financier du SDPJ qui s’occupe de l’affaire.

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/affaire-de-la-ferraille-le-maire-de-villecresnes-contre-attaque-02-04-2017-6817827.php

mardi 21 février 2017

Le Parisien - Trafic de métaux à Villecresnes : vendetta à la mairie

Mairie de Villecresnes, la semaine dernière. Plusieurs fonctionnaires de la mairie ont raconté avoir été victimes de harcèlement après avoir témoigné dans l’affaire de la ferraille. LP/D.C.

La directrice générale des services (DGS) destituée, un agent communal qui porte plainte pour harcèlement, un autre certifiant qu’on a essayé de le soudoyer… Tous ces fonctionnaires de Villecresnes ont un point commun : leur vie est devenue très difficile le jour où ils ont dénoncé le trafic de ferraille impliquant une demi-douzaine de personnes des services techniques. Depuis la plainte d’un employé fin janvier, les policiers de Boissy-Saint-Léger enquêtent sur ce trafic. Selon nos informations, des fonctionnaires découpaient, chargeaient et revendaient à leur profit les métaux qu’ils récupéraient sur les anciennes friches géantes de la poste depuis au moins 2012.

Un premier employé, en conflit avec le chef des services techniques lui-même soupçonné aujourd’hui de faire partie du trafic, alerte le maire en janvier 2016. Alors que son supérieur lui reproche de faire trop de kilomètres avec un véhicule de la mairie, l’agent lui répond que ses copains doivent en faire bien plus en vendant la ferraille en Seine-et-Marne. Depuis il a déposé plainte pour harcèlement.

En mars, alors qu’aucune enquête administrative n’est lancée, c’est au tour de la directrice générale des services d’aller voir le maire (LR) Gérard Guille pour le presser d’ouvrir une enquête. Peu de temps après, elle assiste à la convocation lunaire du chef des services techniques dans le bureau du maire. Ce dernier, qui revenait de vacances, aurait alors au début de cet entretien offert un petit cadeau à son agent. Avant d’accepter qu’il assiste aux convocations de l’enquête administrative mais tout en demandant à sa DGS d’attendre un peu avant de la lancer. C’est là que les choses se seraient gâtées selon elle. Le 29 avril tout bascule.

Alors que le maire dispose de preuves et que sa DGS lui redemande de lancer la procédure, l’élu l’aurait menacée en lui hurlant : « Vous allez voir je vais vous détruire ! ». Plus tard, Gérard Guille prend un arrêté, qu’elle attaquera, pour lui interdire d’exercer ses fonctions. Le chef de la police municipale et son adjoint seraient venus en uniforme à son domicile dans l’Essonne pour qu’elle signe sa convocation d’entretien préalable à un licenciement. Elle refusera. Elle est depuis en arrêt maladie.

Un an avant que la DGS ne rapporte cette affaire au maire, l’adjointe aux travaux Marie-Renée Aurousseau avait été privée de ces délégations lors d’un conseil municipal à huis clos. La raison ? Le comportement colérique de l’élue selon la municipalité. Sauf qu’aujourd’hui, à la lumière de cette affaire, Marie-Renée Aurousseau y voit plus clair. « C’était les services techniques qui ramassaient les monstres [les encombrants comme les machines à laver, NDLR]. Non seulement c’était sale dans la ville mais en plus, c’était une tâche plutôt ingrate. Je suis allée voir le Syndicat de collecte des ordures ménagères dont j’étais par ailleurs la déléguée à Villecresnes. Pour un contrat de 4 500 €, le syndicat acceptait de s’occuper dorénavant des monstres. J’ai signé. Le maire était furieux et on m’a retiré mes délégations alors que je me souciais juste de la propreté de Villecresnes. Avec le recul, j’ai compris que j’avais sans doute supprimé un business », raconte-t-elle.

D’autres témoignages, comme celui de cet employé affirmant avoir été soudoyé pour qu’il ramasse certains matériaux comme l’aluminium et le cuivre, alourdissent également le dossier. Contacté, le maire ne souhaite pas s’exprimer pour le moment.

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/trafic-de-metaux-a-villecresnes-vendetta-a-la-mairie-21-02-2017-6700041.php

lundi 20 février 2017

Le Parisien - Trafic de métaux : le maire de Villecresnes défend « l’honneur bafoué » des agents municipaux

Conseil municipal de Villecresnes après la révélation d'un trafic de métaux par les services techniques. Au centre le maire LR Gerard Guille. LP/C.P.

Le maire de Villecresnes fait bloc derrière ses employés des services techniques soupçonnés de trafic de métaux. Malgré les preuves que sa première adjointe lui avait apportées, l’enquête de police menée par le commissariat de Boissy-Saint-Léger et les questions de ses opposants politiques, Gérard Guille (LR) a tenu à rétablir « l’honneur bafoué » de ses salariés lors d’un conseil municipal tendu, ce lundi soir.Alors que son ancienne adjointe, aujourd’hui écartée de la majorité, Marie-Renée Aurousseau lui reprochait la création de deux postes visant à promouvoir deux de ses employés soupçonnés de faire partie de ce trafic, le maire a tempêté. « Vous n’avez pas à vous ériger en procureur ! » lui a-t-il lancé l’air indigné. Il a alors lu un texte qu’il avait préparé sur le sujet.

Rappelant que « leur culpabilité n’est pas prouvée », il a toutefois prévenu que « s’il s’avérait que ces personnes ou d’autres ont failli », il les « sanctionnerait » en prenant « toute mesure de rétorsion ». « Pour le moment, elles sont considérées comme innocentes », a-t-il ajouté. Un autre conseiller d’opposition Jean-René Cullier de Labadie, comme cela avait déjà été le cas lors d’un autre conseil, lui a redemandé s’il avait porté plainte pour ce trafic de métaux.

Un poste d’ingénieur créé aux services techniques

Le maire, qui a toujours refusé de présenter le récépissé de cette plainte, trouvant la demande « offensante », a affirmé qu’il avait « porté plainte contre X au parquet de Créteil avec recommandé et accusé de réception ». Ses services auraient même « relancé » le parquet. Sans toutefois préciser la qualification de la plainte et surtout pourquoi il avait mis deux mois pour avertir la justice. Alors que sa première adjointe s’était rendue dans l’entreprise de gestion de déchets où un responsable lui avait fourni les noms des employés qui revendaient la ferraille des anciennes friches de la poste à Villecresnes.

Justement, ces 12 ha sur lesquels se trouve en partie le vaste chantier du Bois d’Auteuil ont servi d’argument à Gérard Guille pour justifier la création d’un poste d’ingénieur à la tête des services techniques. Un poste aujourd’hui occupé, sans en avoir le titre, par le chef du service en question, soupçonné de faire partie du trafic de métaux. « Pourtant en février 2015 vous aviez dégradé l’ancien chef des services techniques », a fait mine de s’étonner le conseiller d’opposition Jean-René Cullier de Labadie. « Les choses changent au cours du temps », s’est justifié le maire, évoquant les « nouvelles compétences du territoire ».

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/trafic-de-metaux-le-maire-de-villecresnes-defend-l-honneur-bafoue-des-agents-municipaux-20-02-2017-6697326.php

dimanche 19 février 2017

Le Parisien - Les services techniques soupçonnés d’un trafic de métaux






Des employés des services techniques de la ville de Villecresnes (Val-de-Marne) sont soupçonnés d'avoir tiré bénéfice d'un vaste  pillage de ferraille sur un site désaffecté de La Poste. 

Pendant des années, leur trafic a prospéré sur les anciennes friches de la direction des approvisionnements de la Poste à Villecresnes. Sur ces 12 ha, ces employés des services techniques de la ville ont démonté, découpé, transporté puis revendu en toute illégalité tous les métaux susceptibles de rapporter de l’argent.

Un business juteux connu par la municipalité qui dispose de preuves depuis au moins le 12 avril. Pourtant, ce lundi soir en conseil municipal, le maire de Villecresnes a mis à l’ordre du jour la promotion de deux personnes soupçonnées de faire partie de ce trafic, dont le chef des services techniques.

Depuis le 19 janvier, à la suite d’une plainte déposée par un employé des espaces verts, les policiers de Boissy-Saint-Léger mènent l’enquête. Selon nos informations, ils ont déjà entendu trois personnes qui voulaient dénoncer ce trafic, dont l’ancienne directrice générale des services, démise de ses fonctions après avoir révélé les faits.

L’ancien site géant de la poste où les employés se servaient

« Ils ont tout découpé. Les robinets, la tuyauterie, les extincteurs ». Selon cet employé, c’est à un véritable pillage auquel se sont livrés une demi-douzaine de ses collègues. Cet ancien centre de la Poste, racheté par l’établissement foncier d’Ile-de-France, a ensuite été revendu à un consortium de promoteurs pour la construction du lotissement géant du Bois d’Auteuil. « A priori, c’est l’établissement foncier d’Ile-de-France, dirigé par la Région, qui était propriétaire de ces friches », avance une source proche du dossier.

Selon nos informations, des employés se rendaient sur place, parfois pendant leurs heures de travail, et découpaient la ferraille. L’un d’entre-eux avait du reste été électrocuté en découpant un câble. Toute la marchandise était stockée dans une benne à proximité. Ensuite, ils prenaient le 19 t de la mairie de Villecresnes et chargeaient tout. Direction : une entreprise de gestion de déchets située en Seine-et-Marne pour tout vendre. Et encaissaient des chèques à leur nom propre.

40 tonnes de ferraille

Combien ? Depuis quand ? Difficile à chiffrer à ce stade de l’enquête. Mais selon nos informations, depuis au moins 2012, près de 130 voyages auraient ainsi été faits pour se faire payer 40 t de ferraille. On évoque un préjudice total de 160 000 € sans que cela puisse être établi à ce stade de l’enquête.

Début janvier 2016, le maire Gérard Guille, que nous avons essayé de joindre en vain, est mis au courant par un employé du même service. Puis en mars, c’est au tour de l’ancienne directrice générale des services qui presse alors l’élu d’ouvrir une enquête administrative. Il faudra attendre la mi-avril pour que l’édile envoie sa première adjointe dans l’entreprise de Seine-et-Marne où elle trouvera les preuves de ce trafic. L’information fuite à Villecresnes et le 30 mai, le sujet est mis sur le tapis en conseil municipal. Le maire annonce alors qu’il dispose « d’éléments insuffisants pour accuser qui que ce soit ».

Pourtant, deux semaines plus tard, le 14 juin, il envoie un courrier au parquet de Créteil pour, dira-t-il, porter plainte contre x dans le cadre de cette affaire. Si la procureure a bien eu vent d’une plainte de la mairie à cette période, elle ne porte pas sur un trafic de métaux dans la commune. Toujours est-il que les policiers de Boissy n’ont été au courant qu’en janvier avec la plainte déposée par l’employé qui dénonçait ce business.

Fin janvier lors de ses vœux, le maire avait tenu à « remercier les directeurs des services, qui, tout au long de l’année, ont fait preuve d’un sens aigu du service public. »

Source : www.leparisien.fr/villecresnes-94440/villecresnes-les-services-techniques-soupconnes-d-un-trafic-de-metaux-19-02-2017-6694221.php

vendredi 27 janvier 2017

Le Parisien - Un amendement pour la déviation de la N 19

Le projetde déviation de la N 19 jusqu'à la Francilienne aboutira-t-il un jour ? En tout cas, le conseiller régional (UDI) Laurent Lafon est confiant. L'amendement qu'il a déposé mercredi « pour que la région poursuive les études » permettrait d'envisager un « calendrier prévisionnel de réalisation et engager rapidement les travaux ». Une annonce qui suscitera l'intérêt des habitants du plateau briard.

Une question d'argent

Car pour l'heure, une chose est sûre : le contournement de Boissy-Saint-Léger, qui doit se terminer dans deux ans, risque de provoquer un goulot d'étranglement à partir de Villecresnes. D'où l'importance de prolonger cette déviation jusqu'en Seine-et-Marne. Cet amendement relance-t-il le dossier ? « Ces études sont déjà inscrites au contrat de plan Etat région, s'étonne une source proche. Le vrai problème, c'est le financement de la déviation en tant que tel. Et là dessus rien de nouveau hélas. Je ne vois pas d'ailleurs comment cela pourrait évoluer tant que les élus du secteur ne se seront pas mis d'accord sur un tracé. »

Lors de campagne des régionales, en visite à Marolles, Laurent Lafon et Marie-Carole Ciuntu (LR) s'étaient engagés non seulement à voter les crédits nécessaires à l'achèvement du chantier actuel mais aussi à prolonger la déviation jusqu'à la Francilienne à Brie-Comte-Robert. « Si nous gagnons, nous nous engageons à programmer cette opération », avait promis le maire de Vincennes. « La région est déterminée à porter le dossier dans ce sens », considère-t-il aujourd'hui.


source : www.leparisien.fr/espace-premium/val-de-marne-94/un-amendement-pour-la-deviation-de-la-n-19-27-01-2017-6624336.php

jeudi 5 janvier 2017

Le Parisien - Un pavillon ravagé par les flammes

Une maison située au 19, rue de l'Etoile, à Villecresnes, a été la proie des flammes, hier après-midi. Les pompiers sont intervenus à 13 h 25, pour éteindre un feu d'origine inconnue, qui avait pris dans la cuisine du pavillon. Les habitants des maisons alentour ont été évacués de leur domicile par mesure de précaution. Le pavillon est entièrement calciné et ses trois occupants ont été relogés. Aucun blessé n'est à déplorer.