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jeudi 2 janvier 2020

Le Parisien - Population 2020

Vous êtes 1 397 035 habitants

Le département reste le moins peuplé de la petite couronne, selon la population légale en vigueur depuis hier.

LE PETIT DERNIER de la petite couronne. Le Val-de-Marne reste le département le moins peuplé de la proche banlieue parisienne, selon les chiffres que l’Insee vient de publier. La population officielle en 2017, qui devient la population légale en vigueur depuis hier, grimpe à 1 397 035 habitants contre 1 389 336 en 2016. Soit 7 699 résidents supplémentaires et une croissance moyenne de 0,7 % par an, entre 2012 et 2017.

De nombreuses villes perdent des âmes
C’est la nouveauté de ce recensement. Beaucoup de communes val-de-marnaises ont vu leur population diminuer : dix-neuf en 2017, contre onze en 2016. Le mouvement touche aussi bien des petites villes que des grandes : Noiseau (- 30), Bry-sur-Marne (- 100), Saint-Maurice (- 253), Fontenay-sous-Bois (- 550)… Il ne s’agit pas d’hémorragies massives, mais d’un réel ralentissement de la vivacité démographique des villes.

Un trio de tête inchangé
Comme chaque année depuis 2016, Vitry-sur-Seine est la commune la plus peuplée du département avec 94 059 habitants. Le trio de tête reste le même : Vitry, Créteil et Champigny-sur-Marne. L’écart entre le premier et le deuxième s’est légèrement réduit, puisque 2 939 âmes les séparent désormais, contre 3 265 au recensement précédent (population légale 2019). Les deux villages les moins peuplés demeurent Périgny-sur-Yerres (2 692) et Santeny (3 832).

Villiers en chute
Avec 840 habitants en moins, la commune de Villiers-surMarne est passée sous la barre des 29 000 habitants (28 567). « Le maire est tombé de l’armoire, confie son entourage. Nous ne comprenons pas ces chiffres, car le nombre d’inscrits sur les listes électorales augmente et nous avons réalisé beaucoup de constructions. Or, il suffit de 160 nouveaux logements par an pour voir notre population progresser normalement. Nous imputons davantage ces résultats à la méthode de recensement utilisée par l’Insee. Extrapoler des échantillonnages n’a ni queue, ni tête. Tout dépend du quartier où l’Insee est allé : il peut y avoir six ou sept occupants dans un troispièces d’un certain quartier, et une seule personne âgée dans le trois-pièces d’un autre. » La ville attendait avec impatience ces derniers chiffres, car elle pensait plutôt voir sa population continuer à progresser et passer au-dessus du seuil de 30 000 résidents. Le nombre de conseillers municipaux aurait alors dû passer de trente-cinq à trente-neuf.

Gentilly et Ivry attirent
Gentilly et Ivry-sur-Seine sont les communes dont la population a le plus augmenté dernièrement : + 1 146 habitants à Gentilly et + 1 195 à Ivry. Mais c’est dans la première ville que cette hausse se fait le plus sentir, car elle compte moitié moins de résidents que sa voisine. « Il y a eu beaucoup de constructions ces dernières années, et nous voyons de nombreux Parisiens arriver, car nous sommes limitrophes de la capitale », décrypte-t-on à la mairie. Les réhabilitations ont également joué sur le recensement, notamment au Chaperon-Vert. « Nous avions connu une baisse de population parce que beaucoup de logements étaient vacants en raison de ces rénovations. Il s’agit donc d’un rattrapage, d’une certaine manière. »

vendredi 13 décembre 2019

Le Parisien - Le maire (LR) de Villecresnes Gérard Guille a perdu mercredi son procès en diffamation

Le maire (LR) de Villecresnes Gérard Guille a perdu mercredi son procès en diffamation contre son prédécesseur (DVD) Daniel Wappler et son ancienne adjointe à la communication Isabelle Lafon. Le litige portait sur un compte rendu de conseil municipal. Le tribunal correctionnel de Créteil a estimé qu’il n’y avait dans les propos des prévenus « aucune animosité personnelle » et que les « éléments présentés sur les raisons qui les conduisent à énoncer leurs propos [étaient] étayés ».

Source : Le Parisien "papier" du 13/12/2019

mercredi 11 décembre 2019

Le Parisien - dix-sept caméras supplémentaires pour surveiller la commune

La ville déploie son réseau de vidéoprotection, notamment avec des dômes identifiant les plaques d’immatriculation.

Villecresnes met un coup de collier sur la sécurité. La commune de 10 000 habitants installe depuis ce mardi dix-sept caméras supplémentaires de vidéosurveillance. Elles s'ajoutent aux sept dômes déjà en place depuis 2018.

« Nous avons choisi des lieux stratégiques en accord avec la police nationale, comme le parking du collège, où il y a des rodéos, des trafics de drogue, des bagarres…, mais aussi rue du Lieutenant-Dagorno près du centre culturel Le Fief, sur une place où se déroulent des barbecues interdits, dans le centre-ville, etc. », énumère Gérard Guille (LR), le maire de Villecresnes.

Les dômes choisis peuvent visionner à 360 degrés, lire les plaques minéralogiques des véhicules ou obtenir des images de bonne qualité même avec une faible luminosité.

« Cela a un effet dissuasif »
Cet important déploiement de la vidéoprotection à travers la commune n'est pas lié à une recrudescence particulière de la délinquance « à part une hausse des cambriolages », explique l'élu. « Nous le faisons car ce dispositif aide la police à résoudre les enquêtes, car cela a un effet dissuasif et car il arrive souvent que des gens ayant commis un délit dans une ville voisine comme Boissy-Saint-Léger transitent en voiture par les rues de Villecresnes. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle plusieurs de nos caméras sont capables d'identifier les plaques d'immatriculation des véhicules, de jour comme de nuit. C'était une demande spécifique de la police nationale. »

Les images seront transmises au centre de supervision urbaine (CSU), qui est étendu et réagencé pour l'occasion. Le montant des travaux s'élève à 110 000 €, dont 30 % financés par la région. Un coût plutôt maîtrisé grâce au système de transmission choisi : les ondes hertziennes. « C'est beaucoup moins cher que d'autres systèmes (NDLR : fibre optique, etc.) car cela évite d'onéreux travaux de voirie. »

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-dix-sept-cameras-supplementaires-pour-surveiller-la-commune-10-12-2019-8214306.php

dimanche 8 décembre 2019

Le Parisien - Distribution du courrier dans le Plateau briard : La Poste entend les plaintes des habitants

La Poste va y suivre l’évolution de la qualité de distribution du courrier grâce à un panel d’habitants rencontré via le député Laurent Saint-Martin.

La voix des habitants du Plateau briard va compter pour le groupe La Poste. Grâce à Laurent Saint-Martin (LREM), député de la 3 e circonscription du Val-de-Marne, les plaintes sur les problèmes de distribution du courrier rencontrés depuis des mois ne resteront pas lettre morte. L'entreprise va suivre l'évolution de la qualité de distribution du courrier via un panel de dix résidents rencontrés avec l'élu.

Laurent Saint-Martin avait lancé un appel à témoignages début novembre sur les problèmes récurrents de réception des lettres et colis sur le plateau briard (Villecresnes, Marolles-en-Brie, Santeny, Mandres-les-Roses…). Près de 140 citoyens avaient participé, avec des réponses jugées très pertinentes. Puis l'élu a sélectionné un panel représentatif de dix d'entre eux et a organisé cette rencontre avec La Poste.

Paroles d'habitants
Six enseignements peuvent être tirés de l'analyse des témoignages, selon l'entourage de Laurent Saint-Martin, citant des exemples de réponses : un découragement local face à une situation qui n'évolue pas (« On nous dit à chaque fois que le problème va être réglé mais rien ne change »), des dysfonctionnements anciens accentués depuis l'été 2019, une distribution perçue comme irrégulière et incohérente (courrier arrivant une fois par semaine ou moins, confusion entre rues, lettres arrivant par tas, avis de passage et recommandés directement dans la boîte aux lettres, « les facteurs ne prenant même plus la peine de sonner »), des répercussions concrètes sur le quotidien (« ma carte bancaire a été remise à un voisin », majoration d'amende, « j'attends une lettre avec un chèque postée fin octobre »), un sentiment d'absence d'écoute du service client et une interrogation sur l'avenir de ce service public (« Le bureau de poste est plus préoccupé par la partie bancaire et téléphonie mobile que par le cœur d'activité : la distribution du courrier »).

Laurent Saint-Martin s'est dit satisfait que La Poste tente de « trouver une sortie par le haut à cette situation » et appelle les habitants du plateau briard rencontrant des soucis avec leur courrier à continuer à lui remonter leurs témoignages.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/distribution-du-courrier-dans-le-plateau-briard-la-poste-entend-les-plaintes-des-habitants-08-12-2019-8212437.php

vendredi 6 décembre 2019

Le Parisien - Le site de la future école fait polémique

Villecresnes : le site de la future école fait polémique

La mairie projette de bâtir une école dans le nord de la ville. Mais son emplacement, peu accessible et près de la N 19, est critiqué par l’opposition.

Une pétition contre une école ? À Villecresnes, l'opposition monte au créneau sur un sujet consensuel en apparence, la construction d'une école. Elle fait signer une pétition devant les écoles ces vendredi 6 et lundi 9 décembre, dimanche 8 au marché, puis sur Internet.

L'opposition critique l'emplacement choisi pour bâtir ce groupe scolaire de neuf classes : un terrain de 3 000 m 2 situé rue Jean-Cavaillès, entre la N 19 et la Tégéval, derrière le McDonald's. « Elle sera à proximité immédiate de la N 19 et de ses nuisances sonores et atmosphériques, dans une rue au trafic le plus intense de Villecresnes car elle dessert la nationale, et sans capacité de stationnement », résume Stéphane Rabany (SE), conseiller municipal d'opposition.


« Nous avons évidemment prévu des emplacements de parking dans le périmètre du projet », rassure Gérard Guille (LR), le maire. La pollution liée à la circulation ? « Il y en a partout. Il n'y a pas de raison que les enfants soient davantage incommodés à cet endroit. »

Équiper la partie nord de la ville
Le maire assume son choix : « Il n'y a aucun équipement scolaire dans la partie nord de Villecresnes. Ce projet sera une chose très positive pour les habitants du nord et de Grosbois », insiste Gérard Guille, qui regrette de voir l'opposition « critiquer systématiquement tout ce que je fais, faisant même une pétition contre un kiosque à journaux ».

« Nous proposons la création de ces nouvelles classes en cœur de ville sur les sites des écoles du Château et des Fleurs, bien accessibles, même si ce n'est pas dans le quartier nord de Villecresnes », rétorque Stéphane Rabany.

Le projet, en tout cas, est bien sur les rails. L'appel d'offres est terminé. Onze dossiers de candidatures ont été reçus. Un jury se réunira bientôt pour retenir entre trois et cinq d'entre eux. Le bâtiment aura une ossature bois, « comme le groupe scolaire Mélanie-Bonis ». Coût : 4,5 millions d'euros HT. La construction démarrera en 2020. Les élèves y feront leur première rentrée en septembre 2021.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-site-de-la-future-ecole-fait-polemique-06-12-2019-8211303.php

mardi 3 décembre 2019

Le Parisien - le maire Gérard Guille (LR) officialise sa candidature

Sa lettre est en train d'être distribuée dans les boîtes aux lettres de Villecresnes. Gérard Guille (LR), le maire, présente sa candidature aux élections municipales. Il y met en avant son bilan, fondé sur des promesses de campagne réalistes et « la réalité du respect de ces engagements ». Il souhaite « conserver à Villecresnes cet esprit village qui est son ADN » : « Villecresnes ne doit pas continuer à être l'arène de querelles de clocher et a besoin d'une stabilité politique dans un esprit de rassemblement et de dialogue ».

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/municipales-2020-l-actualite-du-3-decembre-dans-le-val-de-marne-03-12-2019-8209092.php

lundi 11 novembre 2019

Le Parisien - appel à témoignages sur les ratés de la Poste

Les habitants du Plateau Briard sont invités à s’exprimer auprès du député (LREM) Laurent Saint-Martin sur les problèmes de distribution du courrier.

Cinq semaines sans courrier pour Maurice et Simone. Une pile de trente centimètres de lettres arrivant d'un coup chez Monique. Une contravention majorée faute d'avoir reçu le PV à temps pour un voisin. Un colis déposé à la mauvaise adresse chez un autre. Les habitants du Plateau briard, notamment de Villecresnes et Santeny, subissent depuis septembre des irrégularités dans la distribution du courrier, comme bien d'autres communes du Val-de-Marne, récemment encore à Chevilly-Larue, ou à Vincennes et Saint-Mandé.

Cette fois, c'est le macroniste Laurent Saint-Martin qui s'empare du dossier. Le député interpellé par les habitants du Plateau Briard (une partie de sa circonscription), vient de lancer un appel à témoignages par courrier ou Internet jusqu'au 26 novembre.

« J'invite tous les habitants concernés à témoigner afin que chaque situation, même individuelle, puisse être bien prise en compte par les services postaux, annonce Laurent Saint-Martin. J'en suis convaincu : le bon fonctionnement de nos services publics est une condition sine qua non du vivre ensemble et du consentement à l'impôt. »

Privés de courrier pendant des semaines
« En septembre et octobre, je n'ai quasiment pas reçu de courrier et le facteur ne sonnait jamais pour les recommandés », témoigne Émilie, une maman de Villecresnes. Sa voisine Monique n'a plus reçu ses lettres et hebdomadaires auxquels elle est abonnée durant plusieurs semaines.

Maurice et Simone, eux, ont pu récupérer une de leurs lettres non distribuées en se rendant à la poste de Villecresnes : « C'était notre nouvelle carte bancaire, que nous attendions désespérément. D'autres courriers ont été égarés, ils ne nous sont jamais parvenus. »

Monique a beau avoir fait des réclamations auprès de la Poste, elles n'aboutissaient pas. La retraitée a donc lancé une pétition. En quelques jours et quelques rues démarchées, elle a récolté une quarantaine de signatures.

La Poste peine à recruter
Le formulaire en ligne lancé par le parlementaire comporte dix questions simples comme « Connaissez-vous des problèmes de distribution de votre courrier ? », « Depuis combien de temps ? » ou « Avez-vous contacté le service client de la Poste ? ».

Laurent Saint-Martin, futur rapporteur du Budget en 2020, avait déjà saisi le gouvernement en 2017 sur la transformation des services postaux lorsque le Val-de-Marne était face à d'importants dysfonctionnements de distribution du courrier. Un renfort de facteurs avait permis de résoudre le problème.

Pour les difficultés récentes, la Poste évoque un grand nombre de facteurs absents et « des difficultés de recrutement, y compris de personnels intérimaires et de CDD ». Les salariés présents ont mis un coup de collier, aidés par leurs chefs qui ont joué les facteurs. « Cela a permis de distribuer une grande partie du courrier, mais pas la totalité. »

Le groupe assure que la situation est redevenue normale à Villecresnes depuis octobre. « Cela s'est amélioré mais des problèmes persistent », nuance Monique. « Que les gens n'hésitent pas à contacter le service client pour faire remonter les soucis », répond la Poste.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-santeny-appel-a-temoignages-sur-les-rates-de-la-poste-11-11-2019-8190726.php

lundi 21 octobre 2019

Le Parisien - les chauffeurs de la ligne 23 conduisent-ils dangereusement ?

Les passagers de cette ligne de bus reliant Créteil à Brie-Comte-Robert dénoncent les excès de vitesse, freinages brusques et smartphones au volant des conducteurs.

« Si vous prenez la ligne 23, attention, accrochez-vous. Des deux mains ! » Waïda, une lycéenne de Boissy-Saint-Léger, connaît bien cette ligne de bus qui relie Créteil (Val-de-Marne) à Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne). Elle et de nombreux passagers dénoncent des chauffeurs à la conduite très sportive, mettant presque en danger les usagers à bord.

« Ils roulent souvent en excès de vitesse, constate Olivier, de Villecresnes. J'ai relevé par exemple 83 km/h dans une zone limitée à 50 km/h sur la N 19 entre Boissy et Villecresnes, 48 km/h dans les rues étroites de Villecresnes limitées à 30. Un jour, le chauffeur conduisait en regardant une série télévisée sur son smartphone posé sur le tableau de bord. Un jour, ma femme a vu une poussette voler à travers le bus à cause d'un freinage brutal. Heureusement, il n'y avait pas d'enfant dedans… »

« Ballottés comme de la marchandise »
« J'ai vu des chauffeurs envoyer des SMS au volant. Et l'un sentait le cannabis une fois, témoigne Nicole, de Villecresnes, qui prend la 23 chaque jour. On est ballottés comme de la marchandise. Mais je ne mets pas tous les chauffeurs dans le même panier, certains roulent bien. »

Notre test à bord le confirme. Le 1er octobre, entre Boissy et Villecresnes, le conducteur respecte les limitations de vitesse, anticipe les ralentissements et négocie les virages en souplesse. Au retour, en revanche, il faut avoir les deux mains sur la rampe pour ne pas chuter : freinages très brutaux, à-coups dans la conduite, virages ultra-serrés, conduite rapide dans les petites rues de Villecresnes, etc.

Les chauffeurs formés à nouveau ou sanctionnés
« Ces comportements sont inadmissibles et pas tolérés, confie Christian L'Helgoualc'h, directeur du transporteur Setra qui exploite la ligne pour Transdev. Ce sont des motifs de licenciement. Nous avons déjà renvoyé des salariés pour utilisation du téléphone au volant par exemple. Et ce matin, je recevais un salarié testé positif à notre dépistage drogue alcool réalisé sur 100 % du personnel de manière aléatoire. Parfois, les à-coups peuvent être liés aux réglages des freins. »

« Lorsqu'un client fait une réclamation et que nous parvenons à identifier le chauffeur, on n'hésite pas à l'inscrire en formation pour revoir le confort de conduite. Pour les multirécidivistes, les sanctions sont plus lourdes », explique Alaina Mokamanede, directrice d'exploitation de la ligne. Et d'assurer que « les réclamations ne restent pas lettre morte. On ne veut pas attendre l'accident grave pour réagir. »

Pour toute réclamation, service.client.setra@transdev.com ou 01.64.05.09.20, en précisant le jour, l'heure, le lieu et le sens concernés.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/creteil-villecresnes-haro-sur-la-conduite-dangereuse-des-chauffeurs-de-la-ligne-23-21-10-2019-8177124.php

lundi 14 octobre 2019

Le Parisien - Patrick Farcy lance sa campagne

Comme prévu en novembre dernier, Patrick Farcy mènera la liste de l'association Villecresnes Avenir pour la conquête du trône communal. Vice-président de l'organisation, cet ancien directeur chez l'opérateur Orange dresse, dans son premier tract, « un constat négatif de l'administration de notre ville, avec des erreurs manifestes dans l'appréciation des situations et dans les décisions prises. » Lui promet de « réinstaurer un dialogue constructif » et de « préparer [la commune] aux défis de demain ».

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/municipales-2020-l-actu-en-bref-du-15-octobre-dans-le-val-de-marne-14-10-2019-8172903.php

dimanche 30 juin 2019

Le Parisien - un ado de l’Essonne grièvement blessé après une rixe à la piscine

Deux jours après un affrontement, une nouvelle bagarre a éclaté ce samedi. Un jeune a été interpellé.

Une piscine, deux cités, un ado de 15 ans entre la vie et la mort. Nouvel affrontement tragique ce samedi en fin d'après-midi à la piscine de Villecresnes. Prise à partie par des rivaux de la Seimaroise à Limeil-Brévannes, la victime a été tabassée devant l'équipement sportif. Les policiers de Boissy-Saint-Léger sont parvenus à interpeller un jeune de ce quartier soupçonné d'avoir participé à cette rixe. Il quittait les lieux avec ses copains.

A 16 heures, alors que la chaleur est accablante, les policiers sont appelés une première fois pour une bagarre à la piscine. C'est loin d'être inhabituel. Déjà jeudi, ils avaient dû intervenir à deux reprises au même endroit pour des rixes près du bassin entre adolescents de Limeil et de Brunoy (Essonne). Aucun blessé n'avait été signalé.

Déjà des heurts jeudi
L'un des responsables de la piscine, selon plusieurs sources, avait conseillé aux fonctionnaires d'en rester là en raison de la présence de plusieurs familles à la piscine. « C'était spectaculaire en quelques secondes on avait vu débouler des jeunes de partout qui escaladaient les barrières », nous racontait un père de famille qui avait préféré rentrer aussitôt chez lui avec ses enfants.

Ce samedi, la première intervention de police ne donne lieu à aucune interpellation. A leur arrivée, la situation s'était calmée. Mais après 19 heures, tout dégénère. Devant l'équipement sportif, les adolescents de l'Essonne et du Val-de-Marne s'affrontent. Les derniers prennent, semble-t-il, le dessus. Un jeune de 15 ans d'Epinay-sous-Sénart (Essonne) tombe au sol après avoir pris un coup de poing. Il est alors passé à tabac. L'un des belligérants a fait usage de gaz lacrymogène.

Quelques minutes plus tard, les policiers de la Brigade anticriminalité de Boissy-Saint-Léger, de retour sur les lieux, arrêtent chemin Vert, tout près de l'Essonne, une Clio qui roule à vive allure. A l'intérieur, six jeunes de Brunoy. Plusieurs d'entre eux ont encore le visage rougi par le gaz lacrymogène. Ils confirment aux policiers qu'une bagarre a eu lieu avec leurs adversaires de Limeil et de Boissy. Et ils ne comptent pas en rester là.

Un jeune de Limeil placé en garde à vue
Les policiers foncent à la piscine. Sur place, les pompiers de Villecresnes sont en train de secourir l'adolescent qui a été roué de coups. Il présente notamment une blessure importante à l'arcade sourcilière. Il sera transporté par le Samu à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil dans un état d'urgence absolue. Selon nos informations, son pronostic vital était toujours réservé ce dimanche matin. Les médecins évoqueraient une légère amélioration.

Les fonctionnaires ne vont pas mettre longtemps à retrouver les agresseurs présumés. Ils arrêtent une dizaine d'adolescents de la cité de la Seimaroise de Limeil à quelques mètres de là. Au même moment, deux véhicules, dont la Clio contrôlée un peu plus tôt, déboulent.

Les jeunes de l'Essonne veulent régler les comptes après la blessure d'un des leurs. Les policiers s'interposent mais la situation est très tendue. Ils doivent faire usage d'une grenade de désencerclement. Un adolescent de Limeil âgé de 16 ans, déjà bien connu des services, a été interpellé et placé en garde à vue.

Ce samedi après-midi, alors que le mercure s'affolait, plus de 1 500 personnes se sont rendues à la piscine de Villecresnes. Une situation « ingérable » pour l'un des maîtres nageurs. Selon nos informations, l'équipement est désormais fermé jusqu'à nouvel ordre.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-un-ado-de-l-essonne-grievement-blesse-apres-une-nouvelle-rixe-a-la-piscine-30-06-2019-8106423.php

vendredi 7 juin 2019

Le Parisien - le service d’aide à domicile municipal supprimé

Dès le 1er juillet, les personnes âgées concernées devront avoir recours à des sociétés privées pour être assistées. L’opposition dénonce la dégradation de la « solidarité avec les anciens ».

Il était utilisé par des personnes âgées de Villecresnes. Mais au 1 er juillet, le service d'aide à domicile de la ville, qui dépend du Centre communal d'action sociale (CCAS), sera supprimé. En cause, selon la mairie : un décalage entre les demandes de « soin » des requérants et les qualifications des agents du service, pas formés à la toilette ou à l'aide à la mobilité. « Les cinq postes concernés seront reclassés », promet le maire (LR) Gérard Guille.

L'édile met également en avant « l'absentéisme » de certains agents, qui ne permettrait pas d'assurer un service correct. « Nous avons peu d'agents : avec deux absents sur cinq, la situation est tout de suite critique, explique-t-il. Les bénéficiaires trouvaient d'ailleurs le service insuffisant ».

Jacqueline*, Villecresnoise de 85 ans, y a recours avec son mari. « Une employée vient deux fois par semaine. Elle nettoie les carreaux, la cuisine et fait le ménage. L'enlever ? Ce serait très dommage. Elle m'est fort utile », explique l'habitante.

Supprimer des coûts
A l'image des autres personnes âgées concernées, elle devra désormais se tourner vers des sociétés privées à compter de cet été. Son porte-monnaie pourrait voir la différence. « Il y a un petit delta de prix, mais avec certaines aides, cela ne sera pas énorme », avance le maire, sans avancer de chiffres précis.

L'opposition n'est pas de cet avis. Et monte au créneau. « A aucun moment le maire n'a évoqué l'arrêt de ce service, s'émeut Didier Fabre, conseiller municipal Villecresnes Avenir et membre du conseil d'administration du CCAS. Les personnes âgées qui en bénéficient ont parfois plus de 85 ans. Elles ont besoin de visites régulières et sont paniquées par cette suppression. Le privé, ce n'est plus du tout le même tarif. »

Le conseiller d'opposition préconise le recrutement d'auxiliaires de vie à la place des aides à domicile. Et s'inquiète de la suppression du service à l'approche de la saison estivale. « Avec une éventuelle canicule, c'est de la folie », lance-t-il. Selon lui, la suppression de l'aide à domicile va de pair avec une « dégradation du service social » et de la « solidarité avec les anciens ». Et n'a qu'un but : « supprimer des coûts ».

*Le prénom a été changé.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-service-d-aide-a-domicile-municipal-supprime-cet-ete-07-06-2019-8088825.php

dimanche 2 juin 2019

Le Parisien - les promeneurs s’approprient la Tégéval

De nouveaux aménagements ont été inaugurés ce samedi matin sur cette coulée verte de 20 km de long.

Des promeneurs à pied ou à vélo, des joggeurs comme si l'on était en pleine compétition… C'est à croire que tout le monde s'était donné rendez-vous ce samedi matin sur la Tégéval. Cette coulée verte longue de 20 km entre Créteil et Santeny va être d'autant plus fréquentée du côté de Villecresnes que deux aménagements ont été inaugurés ce week-end : une passerelle permettant une connexion avec la liaison verte du Réveillon et un belvédère. De nouvelles espèces florales ont été créées. Montant des travaux : 1,24 million d'euros financés à 60 % par la région et 40 % par le conseil départemental.

« C'est fabuleux, s'enthousiasme Pierre-Jean Gravelle, le président du Syndicat mixte d'étude et de réalisation, qui s'occupe de la maîtrise d'ouvrage de la Tégéval. Nous avons visé juste. Ça n'arrête pas de circuler. Ici, c'est vraiment la partie rurale de la coulée verte ».

« Ils ont gardé les orties ! »
Sous le chapiteau entre l'avenue Foreau et la Tégéval, le maire (LR) de Villecresnes Gérard Guille s'est souvenu de « l'ancienne gare fermée en 1953 » par laquelle passait « la voie des roses », cette ligne ferroviaire utilisée par les rosiéristes pour que les fleurs soient livrées à Paris. Aujourd'hui, les fleurs ont remplacé les wagons de roses.

Et pas seulement des fleurs attendues. « Ils ont gardé les orties ! triomphe Marie, une ancienne de Villecresnes. Au début des années 80, je faisais partie de ceux qui se sont battus pour la couverture du TGV. Alors voir aujourd'hui la Tégéval, cela donne de l'espoir. Cela montre qu'il y a eu une prise de conscience de la dégradation de notre cadre de vie et de l'importance de changer ça. Je suis contente de voir cet éveil. »

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-les-promeneurs-s-approprient-la-tegeval-02-06-2019-8084427.php

vendredi 31 mai 2019

Le Parisien - elle vous apprend à relooker vos meubles avec de la peinture bio

Dans son atelier, Pascale donne une seconde jeunesse aux meubles anciens en les repeignant avec des produits écologiques. Et vous apprend à la faire vous-même.

Lorsque la décoration de votre logement change, vous ne savez pas forcément quoi faire de vos meubles désuets. Ils traînent alors au grenier, à la cave, malgré leur qualité et leur potentiel évident. Depuis deux ans, dans sa boutique-atelier de Villecresnes, Pascale relooke des antiquités pour leur donner « une seconde jeunesse ».

Le principe est simple : à l'occasion d'une initiation sur une demi-journée, elle propose de vous apprendre à repeindre vous-même vos anciens meubles pour qu'ils se fondent dans l'intérieur contemporain de votre nouveau salon. En parallèle, Pascale vend des articles dans un petit showroom qui précède son atelier. Il contient ses créations, des productions d'autres créateurs du secteur et des objets de décoration d'intérieur.

Produits made in France
Et l'avantage, c'est que tous les produits sont écologiques. « Mes peintures sont biosourcées, naturelles et fabriquées en France », précise Pascale. Elle recycle également son verre et ses contenants pour pousser la démarche environnementale jusqu'au bout. « Amener ses anciens meubles, c'est aussi participer à ce recyclage, poursuit Pascale. Cela évite qu'ils se retrouvent sur le trottoir. »

L'artisan se rend également à domicile pour repeindre intégralement des cuisines. Parmi ses clients, Pascale compte des Villecresnois, évidemment, mais aussi des habitants des départements voisins de Seine-et-Marne et de l'Essonne. « Avant, je travaillais dans la comptabilité, explique Pascale. Désormais, je m'épanouis dans un métier plus vivant. Je donne une seconde chance à ma vie. Comme à mes meubles. »

Atelier-boutique « Samedi le Relooking », 43, rue d'Yerres à Villecresnes (cour intérieure des ateliers de Beaumont). Tarif initiation au relooking de meubles : 42 € la demi-journée avec produits fournis.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-elle-vous-apprend-a-relooker-vos-meubles-avec-de-la-peinture-bio-31-05-2019-8083560.php

mercredi 17 avril 2019

Le Parisien - il casse tout pour venger sa compagne suspectée de vol dans un Ehpad

Le couple a été interpellé et placé en garde à vue.

Elle était convoquée chez la directrice de l'Etablissement pour personnes âgées pour avoir volé de l'argent dans la chambre d'une patiente. Mais cela ne s'est pas du tout passé comme prévu. Furieuse, cette employée de la maison de retraite a fait venir son compagnon.

Encore plus énervé qu'elle, cet homme de 28 s'est défoulé sur le mobilier du bureau. Bilan : deux employées qui assistaient à la scène ont dû être prises en charge par les pompiers, blessés par des éclats de verre. L'une d'elle a même été hospitalisée. Ce mercredi après-midi, ce couple de Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne) était en garde à vue au commissariat de Boissy-Saint-Léger.

Fuite en voiture
C'est semble-t-il pour le vol d'un billet de dix euros que l'employée de 33 ans se retrouve mardi en début d'après-midi convoquée par la directrice de l'Ehpad. Des soupçons pesaient déjà sur elle pour d'autres faits. L'entretien dégénère rapidement. L'employée appelle son compagnon.

Apparemment très impulsif, ce dernier s'est emparé d'une sorte de gros cendrier en métal et s'est mis à tout casser dans le bureau. Il a ensuite pris la fuite en voiture. Mais entre-temps, les policiers de Boissy-Saint-Léger avaient eux aussi été appelés à la rescousse. A quelques centaines de mètres de l'établissement, ils ont réussi à l'interpeller avant de le placer en garde à vue avec sa compagne.

Une garde à vue compliquée puisque dans sa cellule, l'homme arraché un pan du mur pour s'infliger une blessure. Il a dû être transporté à l'hôpital. Un examen psychiatrique était également prévu.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-il-casse-tout-pour-venger-sa-compagne-suspectee-de-vol-dans-un-ehpad-17-04-2019-8055228.php

mercredi 10 avril 2019

Le Parisien - L’incendiaire de Villecresnes est passé aux aveux

Ce jeune de 21 ans se trouvait en garde à vue ce mercredi dans les locaux du SDPJ 94. Plusieurs véhicules municipaux avaient été incendiés l’hiver dernier.

C'est lui. Cela ne fait aucun doute puisqu'il est passé aux aveux et qu'il a été confondu sur la base d'éléments scientifiques par les enquêteurs du groupe Est du SDPJ 94. Mais pour l'heure ce jeune de 21 ans n'a toujours pas donné de version crédible aux incendies dont il est à l'origine l'hiver dernier à Villecresnes.

Début décembre, une voiture du Centre communal d'action sociale part en fumée. Dans la nuit du 8 au 9 décembre, c'est le bâtiment et les véhicules des services techniques qui sont touchés. En parallèle, un tractopelle dédié aux fouilles archéologiques sur le chantier d'Attilly est ravagé par les flammes, le même jour. Le 29 décembre enfin, deux voitures de la police municipale situées dans l'enceinte du poste de police prennent feu.

Il aurait agi sur ordre d'un commanditaire
On ne sait pas encore si le suspect, qui sera jugé ce jeudi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Créteil, est responsable de tous ces incendies. Il ne reconnaît que ceux des véhicules.

La version qu'il avance fait en tout cas tiquer les enquêteurs. Selon lui, il avait une dette à rembourser. Il aurait alors rencontré un homme, dont il tait le nom, qui lui aurait proposé 1 400 € pour incendier les voitures de la police municipale. Il serait passé à l'acte avec un complice qu'il ne nomme pas non plus. Après coup, il n'aurait touché que 1 000 € de la part de son commanditaire.

Le jeune homme est connu des services de police pour des vols à la roulotte et d'accessoires automobiles. Il est également proche d'un autre jeune surnommé « la petite terreur » de Villecresnes, notamment depuis l'agression d'un policier municipal l'an dernier.

Contactée, la mairie confirme que l'individu est originaire de la ville, mais indique ne pas le connaître particulièrement. Déplorant un « gros préjudice », elle s'est constituée partie civile et sera représentée par un avocat jeudi.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/l-incendiaire-de-villecresnes-est-passe-aux-aveux-10-04-2019-8050731.php

mercredi 6 mars 2019

Le Parisien - le nouveau kiosque continue d’animer la ville municipale

Ouvert depuis début février sur la place du marché, le nouveau kiosque de Villecresnes semble ravir les habitants, contrairement à ce qui ressort d’un sondage réalisé par les opposants de l’association « Villecresnes Avenir ».

Ouvert depuis un mois, le nouveau kiosque à journaux situé sur la place du marché, à l'angle de la rue du Réveillon et du Lieutenant-Dagorno, semble ravir les habitants.

Destiné à répondre « à un besoin des habitants après la fermeture il y a un an du local presse », comme l'avait expliqué le maire, Gérard Guille (LR), ce kiosque marque le retour des journaux dans le centre-ville.

Ce mercredi matin, les Villecresnois sont au rendez-vous, à l'image d'André, un retraité de 75 ans qui vient ici tous les mercredis acheter le Canard Enchaîné et Télé 7 Jours.

Il ne se définit pas comme un gros client, mais il apprécie de pouvoir venir se procurer la presse à pieds et ne comprend pas toutes les polémiques qu'alimente ce kiosque.

« Le problème aujourd'hui, c'est que les gens se plaignent sans cesse. Quoi que l'on fasse ça ne va jamais ! », s'indigne-t-il.

Pour Al Dyab, le gérant, les débuts du kiosque s'annoncent prometteurs. Ce Syrien de 50 ans sert une quarantaine de clients par jour et avoue que « leur panier moyen est assez important ».

L'opposition s'appuie sur son sondage
Pourtant, selon les résultats d'un sondage réalisé par les opposants de l'association « Villecresnes Avenir » seulement 9 % des habitants seraient favorables à cette nouvelle structure alors que 84 % se diraient contre.

De plus, à en croire le sondage, ce n'est pas tant le kiosque en lui-même qui déplaît mais plutôt les à-côtés qu'il génère, telle la suppression de six places de parking ou encore la redevance de 200 € payée par le kiosquier, jugée trop faible.

Un hebdomadaire dans les mains, François, 61 ans, ne comprend pas ses revendications. « Même s'il ne payait rien cela ne me poserait aucun souci », affirme-t-il

Ainsi, l'opposition n'a aucunement l'intention d'obtenir la fermeture de l'établissement et n'engagera aucune action dans ce sens. Son unique objectif était de « démontrer au maire que les arguments des opposants avancés lors du conseil municipal sont également partagés par une majorité de Villecresnois. »

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-le-nouveau-kiosque-continue-d-animer-la-ville-municipale-06-03-2019-8025990.php

lundi 28 janvier 2019

Le Parisien - un centre de santé pour lutter contre la désertification médicale

Face au spectre du désert médical, la mairie rivalise d’ingéniosité, mais surtout de générosité, pour attirer de nouveaux praticiens.

Ne parlez surtout pas du manque de médecins à Janine. Cette Villecresnoise de 70 ans est aujourd'hui obligée de faire dix kilomètres pour trouver un praticien qui accepte de prendre le relais de son généraliste parti en retraite fin décembre dernier. « C'est lamentable de ne plus pouvoir se faire soigner dans sa ville », fulmine cette retraitée désormais suivie à Brunoy (Essonne).

Avec seulement trois généralistes pour 10 000 habitants, la commune est touchée de plein fouet par la désertification médicale. « Si on ne fait rien, ça va être la catastrophe, prévient le maire (LR) Gérard Guille. C'est un combat de tous les jours, la santé est notre priorité, on ne ménagera pas nos efforts », insiste-t-il. Il faut donc trouver un remède et vite. Seule solution pour attirer de nouveaux médecins, créer un centre de santé au loyer attractif.

Un investissement de 150 000 €
L'élu mise tout sur les avantages financiers. « Aujourd'hui, si un jeune praticien doit payer plus de 1 500 € de charges par mois, il n'est pas intéressé », indique-t-il. La structure de plus de 200 m2 pourrait ouvrir ses portes d'ici la fin de l'année, dans la zone des ateliers de Beaumont (à côté du centre technique). Elle permettrait d'accueillir 4 médecins généralistes. Mais encore faut-il avoir des candidatures… « Nous allons réaménager le bâtiment pour un coût d'environ 150 000 € », annonce Gérard Guille. Une bonne nouvelle pour les habitants. Car ici, ces dernières semaines, après le départ en retraite d'un généraliste, plusieurs indicateurs sont vite passés au rouge. Difficultés à trouver un médecin traitant, allongement à près de 15 jours de délai pour obtenir un rendez-vous sans urgence chez l'un des trois généralistes présents sur le territoire.

Villecresnes. Le docteur Thierry Favreau reçoit entre 22 et 35 patients par jour.

Chez le docteur Elbaz, dès l'ouverture du cabinet aux consultations sans rendez-vous, près de 19 patients attendent déjà. Et chaque jour, la salle ne désemplit pas. « On a un rythme effréné nous obligeant à refuser de nouveaux patients », explique Joël Elbaz, installé depuis plus d'une quinzaine d'années dans la commune.

Avec plus de 60 heures par semaine, il faut savoir tenir la cadence. « On s'en va vers une catastrophe sanitaire. On n'est pas à l'abri de passer à côté d'une pathologie », craint le docteur Thierry Favreau, débordé jusqu'à 22 heures. Il reçoit entre 22 et 35 patients par jour en plus de ses consultations à domicile. Pour lui, ces mesures d'incitation à l'installation ne seraient pas suffisantes.

« Les jeunes de nos jours ne veulent pas s'embêter avec toutes les démarches administratives et n'acceptent plus de devoir travailler plus de 35 heures par semaine, poursuit le médecin, âgé de 52 ans. Ils cherchent l'équilibre entre leur vie familiale et leur vie professionnelle et préfèrent s'associer à d'autres. Ils ont sans doute raison. »

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-un-centre-de-sante-pour-lutter-contre-la-desertification-medicale-28-01-2019-7998897.php

dimanche 27 janvier 2019

Le Parisien - la vidéo protection renforcée

Le maire (LR) a annoncé l’installation d’une dizaine de caméras supplémentaires de vidéo protection sur les points sensibles.

Villecresnes, 10 000 habitants, continue de développer son système de vidéo protection. Une dizaine de nouvelles caméras sera installée au premier semestre sur les points sensibles dont les sites communaux, qui n'ont d'ailleurs pas été épargnés par les incendies ces derniers mois. Un projet annoncé lors des vœux. « La phase 1 d'installation portait principalement sur les accès aux écoles, la phase 2 concerne désormais le centre-ville et les points avec des risques de rassemblement », précise le maire (LR) Gérard Guille.

Actuellement, sept caméras de vidéo-protection quadrillent le territoire communal. Le but est d'assurer la sécurité des habitants et de faciliter les enquêtes de la police nationale. Si le budget reste encore à déterminer, la Ville sera dotée de caméras permettant l'identification de plaques minéralogiques coûtant environ 3 000 €. L'édile a aussi évoqué la création d'un centre de surveillance urbaine (CSU), situé dans les locaux de la police municipale qui compte sept policiers.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-video-protection-renforcee-27-01-2019-7998003.php

jeudi 24 janvier 2019

Le Parisien - Villecresnes prépare sa nouvelle école

La structure sera construite dès cette année et livrée à la rentrée 2020 pour accueillir une cinquantaine d’élèves en plus. Une classe sera ouverte en élémentaire à Mélanie-Bonis.

Trop d'élèves, pas assez de classes. Le problème est tel que la mairie de Villecresnes a décidé de construire un nouveau groupe scolaire dès cette année pour une livraison à la rentrée de septembre 2020. Un projet annoncé lors des vœux du maire (LR) Gérard Guille, ce samedi. Car depuis 2014, la population a fortement augmenté (+ 20 %).

« Il y a beaucoup de jeunes couples avec enfants qui s'installent dans la commune, se réjouit l'élu. Et cela rajeunit la population ». Tandis que les demandes de permis de construire ont progressé de 30 % en 2018. Un phénomène notamment lié au nouveau quartier du Bois-d'Auteuil.

Une cinquantaine d'élèves supplémentaires en 2019
La ville étant en pleine expansion, les écoles et la mairie anticipent ainsi l'augmentation des effectifs dans les années à venir. En 2019, 39,53 % d'enfants de maternelle en plus à scolariser sont attendus par rapport à 2017 et près de 25 % en élémentaire, soit au total, environ une cinquantaine d'élèves supplémentaires. D'où la création du groupe scolaire pour un montant d'environ 8,5 M€.

Le nombre de classes reste encore indéfini tout comme le lieu de construction du bâtiment. « Les études sont en cours. Nous penchons pour une école modulaire capable de tenir jusqu'en 2023 en termes d'effectifs », précise l'élu.

Les écoles actuelles sont déjà saturées : le groupe scolaire Mélanie-Bonis avec 556 élèves, l'école des Merles, celle du Château et l'école des Fleurs. Seule l'école du Réveillon est épargnée. Dès la rentrée prochaine, une ouverture de classe est attendue en élémentaire à Mélanie-Bonis, portant le nombre de classes à 17. « Cette ouverture sera temporaire jusqu'à l'arrivée de la nouvelle école », prévient la mairie.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-prepare-sa-nouvelle-ecole-24-01-2019-7996026.php

mardi 15 janvier 2019

Le Parisien - la ville accueille son nouveau kiosque à journaux

Ce lundi, à l’initiative de la Ville, un kiosque a été installé sur le parking du marché. Un équipement très attendu par les habitants. Ouverture prévue le 4 février prochain.

« Bonne nouvelle », « ça manquait », « c'est pratique ». Ce lundi, devant le kiosque à journaux fraîchement installé, les réactions fusent. Et pour cause, ce nouvel équipement de 12 m2 vient pallier la fermeture il y a plus d'un an du point presse situé en face de la mairie. « Cela répond à une réelle attente des Villecresnois », relève le maire (LR) Gérard Guille.

Sur le parking du marché à l'angle de la rue du Réveillon et du Lieutenant-Dagorno, les habitants pourront trouver pas moins de 1 200 titres de presse. Cadeaux souvenirs, jeux de la Française des jeux, offre du PMU, cartes postales ou téléphoniques y seront également en vente. L'ouverture au public est prévue pour le 4 février prochain.

Horaires : du lundi au samedi de 7 h 30 à 19 h 30 et le dimanche de 7 h 30 à 13 heures.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-la-ville-accueille-son-nouveau-kiosque-a-journaux-15-01-2019-7989198.php